Le Mauser dans l'histoire
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Le Mauser dans l'histoire
par Invité 7/6/2014, 11:08 pm
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Karabiner 98k
ont doit son invention a deux armuriers allemands: Paul et Wilhelm Mauser.
A partir de 1871, l'histoire de la firme qu'ils fondent dans la petite ville de wurtembourgeoise d'Oberndorf deviendra inséparable de celle du fusil militaire en Allemagne jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale. Le succès des mécanismes Mauser leur vaudra d'être fabriqués avec ou sans licence dans plus de dix pays et de constituer l'arme réglementaire d'une trentaine de nations.
C'est en 1871 que le premier fusil a culasse Mauser (M.71) sort de l'arsenal royal de Spandau, les armes du modèle 1871 sont adoptées par l'ensemble des états allemands excepté le royaume de Bavière dont l'armée conserve le fusil Werder. Ce n'est qu'en 1877 que la Bavière adopte elle aussi le Mauser modèle 1871.
Malgré un important effort d'équipement, les arsenaux royaux ne peuvent satisfaire assez rapidement les besoins des armées des différents états allemands.
une part importante de la fabrication des armes d'épaule du système 1871 doit donc être confiée au secteur privé :
- la manufacture d'armes de Steyr en autriche (Ostereichische Waffensfabriks-Gesellschft) devient de ce fait l'un des principaux fabricants du fusil.
- le consortium des armuriers de Suhl composé des firmes Spangenberg, Sauer, schilling et Haenel fournit également une appréciable quantité d'armes. Ses produits sont marquées du sigle "AGH" (Arbeitsgemeinschaft Haenel).
Le Fusil d'infanterie (Infanteriegewehr M.71)
Long de 135 cm (dont 83 cm de longueur de canon), le fusil d'infanterie pèse 4500g. Il est doté d'une hausse complexe tenant compte de la trajectoire peu tendue du projectile de 11 mm modèle 1871 :
- deux crans de mire pour les distances usuelles du combat d'infanterie : 200 m e l'autre monté sur une feuillet rabattable pour le distance de 300 m.
- une planchette de hausse rabattable qui permet grâce à un jeu complexe de quatre crans de mire et d'une rallonge de couvrir les distances de 400 m à 1600 m.
Après son déclassement, le mauser 1871 sera revendu à différents pays balkaniques, à la Chine et à l'Uruguay. Quelques milliers de M.71 seront également introduits en contrebande en Irlande à la veille et au cours de la première guerre mondiale ou ils armeront les insurgés catholiques lors de la guerre civile.
En Allemagne, les stocks d'armes du modèle 71 conservés dans les arsenaux seront utilisés pour armer les troupes de seconde ligne au cours de la première guerre mondiale. (un exemplaire ce trouve toujours au musée de la légion Étrangère d'Aubagne).
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Le M.71 est chambré a cette époque en calibre 11 mm, afin d'obtenir de meilleurs performance balistiques, Paul Mauser étudie le passage du calibre 11 mm à un calibre légèrement inférieur : 9,5 mm dont la trajectoire est plus tendue que celle de la 11 mm . L’Allemagne étant entièrement équipée de fusils quasiment neufs en calibre 11 mm, la nouvelle munition n'a aucune chance d'y être adoptée à court terme. Paul Mauser qui a succédé à son défunt frère Wilhelm, va donc se retourner vers les armées étrangères.
Après trois mois de tractations et d'essais, Paul Mauser rentre à Oberndorf muni d'une fabuleuse commande du gouvernement turc portant sur 50 000 carabines à répétition système Mauser.
En 1884, un chimiste français, Paul Vieille, met au point une nouvelle poudre dite "sans fumée" qui révolutionne les données établies en matière d'armement et surclasse dès son apparition, la poudre noire jusqu'alors universellement employée.
Son emploi permet de diminuer la fumée qui s'échappe de la bouche des armes à feu après le départ du coup, ceci rend plus difficile le repérage du tireur ou de la pièce et évite qu'après quelques coups, il ne soit environné par un nuage l'empêchant de régler son tir.
De cette invention,en 1888 le nouveau fusil voit rapidement le jour, le M.88 qui sera chambré en calibre 8 mm à pointe arrondie, la mise en service du fusil 88 ne tarde pas à être suivie d'une série de rapports d'incident et de réclamations. Ce fusil mis au point et fabriqué en toute hâte, comporte en effet des défauts qui ne se révèlent qu'à l'usage. Pendant toute sa carrière, le fusil 88, qui aurait pu, moyennant la correction de quelques défauts devenir un honnête fusil d'infanterie, souffrira de la précipitation apportée à sa mise en fabrication.
Face aux fusils ultra-modernes construits sur le sol national pour l'étranger et parfois pour des ennemis potentiels, le fusil allemand modèle 1888 fait piètre figure d'autant plus qu'une quantité anormale d'accident parfois graves fint par saper totalement la confiance des militaires allemands envers cette arme. C'est pourquoi la commission dévaluation de spandau (Gewehr Prüfungskomission ou G.P.K) envisage, dès 1893, le remplacement du fusil 1888.
Le fusil modèle 1898
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Un prototype modifié conformément aux résultats des essais en corps de troupe est finalement retenu par la G.P.K. Ce modèle final est un fusil de 125 cm de long, pesant 4100 gr, avec un calibre de 7,92 mm, à 5 coups alimenté par lame chargeur, muni d'une hausse de type Lange, graduée de 200 à 2000 m, doté d'une crosse demi-pistolet, et d'un court garde main s'étendant du pied de hausse au bracelet de grenadière.
Cet ultime prototype est officiellement adopté le 5 avril 1898, sous l'appellation de "Gewehr 98 ". Le choix de ce modèle par l'armée allemande représente l'aboutissement des espoirs si souvent déçus de Paul Mauser.
Le Gewehr 98 est une arme quasiment parfaite. Son remarquable mécanisme de culasse équipera un grand nombre de fusils militaires à verrou pendant plus de soixante ans. Sous une forme à peine modifiée, il continue à être utilisé de nos jours sur la plupart des carabines de grande chasse.
Le Gewehr 98 est mis en fabrication dans les arsenaux royaux de Spandau, Erfut et Danzig ainsi que par l'arsenal royal de Bavière d'Amberg.
Afin de réequiper rapidement l'armée, l'industrie privée participe également à sa fabrication. Mauser et D.W.M. fabriquent de grandes quantités de Gewehr 98. A ces deux firmes viendront s'ajouter, au cours de la première guerre mondiale, d'autres grandes manufactures d'armes privées :
-J.P. Sauer & Sohn
-W.Chr. Schilling
-C.G. Haenel
-Waffenwerke Oberspree
-Simson & Co.
L'année 1914 voit la la disparition de Paul Mauser, le 29 mai. Quelques mois plus tard, le déclenchement de la première guerre mondiale met un terme brutal à l"extraordinaire développement des exportations de fusils système Mauser. Les usines allemandes et autrichiennes vont désormais abandonner les marchés étranger pour satisfaire les énormes besoins nationaux et ceux de l’allié turc.
La carabine K.98 sous le III ème Reich
L'arrivée au pouvoir en janvier 1933 du parti nazi est rapidement suivi d'une montée en puissance de l'armée allemande, préparée depuis plus de dix ans par la Reichswehr.
L'IWG prend désormais le nom de Heerswaffenamt (service de l'armement de l'armée). Ce service est chargé de l'étude des armements nouveaux et du contrôle des fabrications industrielles destinées aux forces armées. les poinçons de ses contrôleurs composés d'un aigle surmontant les initiales "WaA" (Waffenamt) suivies du numéro de chaque bureau de contrôle ne tardent pas à parsemer les pièces d'équipement les plus variées de l'armée allemande.
L'un des premiers soins du waffenamt est de fixer définitivement les caractéristiques de l'arme d'épaule unique qui équipera la Wehrmacht.
C'est ainsi que le 14 juin 1935 est adoptée le K.98, l'arme est désignée sous le nom de Karabiner 98 kurtz ou K.98 k
(carabine 98 courte). Car le fusil choisi est raccourcie de 14 cm par rapport au G.98.
Cette version est aussitôt mise en production dans les usines Mauser et Sauer, de nombreux autres fabricants produiront par la suite cette arme pour répondre aux besoins de l'armée allemande.
Identification du fabricant
La dissimulation de l'identité du constructeur sous un code alphabétique ou alphanumérique, inaugurée sur les premières carabine Sauer en 1934 persistera tout au long de la guerre.
Au fur et à mesure du déroulement de la guerre, le nombre de fabricants de carabines K.98k augmente, outre Mauser, au moins six fabriquants produiront des K.98 k. On évalue à plus de 14 millions le nombre total de K.98k fabriqués au cours du conflit par les usines contrôlées par le Reich :
-BERLIN LÜBECKER MASCHINENFABRIK : S/237 jusqu'en 1938, puis 237 jusqu'en 1940, puis duv.
-BRÜNN WAFFENWERKE (nom allemand de la ville de Brno en Tchécoslovaquie occupée) : dot (production débutant en 1943 après la reconversion des chaines de production des fusils VZ 24 pour la fabrication des K.98 k. Ce code devient swp dans les derniers mois de guerre.
-BRYSTICA WAFFENWERKE (annexe de la précédente) fabrique tout d'abord des G.24 dérivés des modèles tchèques, puis à partir de 1942 des K.98 k identifiables au code dou frappé sur la chambre.
-ERMA : S/27 jusqu'en 1938, puis 27 jusqu"en 1940, puis ax
-GUSTLOFFWERKE : Cette firme commence à produire des carabines K.98 en 1938 en utilisant les installations de la firme B.S.W. (Berliner-Suhler waffen und Fahrzeugwerke) dont elle a pris le contrôle. B.S.W est la nouvelle désignation de l'ancienne firme simson après son expropriation par les Nazis.
Des carabines K.98, à chambre merquée des intiales BSW sont fabriquées jusq'en 1939. Ces initiales laissent à partir de 1939 au code des usines Gustloff : 337 de 1939, qui devient bcd à partir de 1941.
-MAUSER (usine d'Oberndorf) : S/42 de 1934 à 1937, 42 de 1938 à 1941,byf de 1941 à 1944, puis svw.
-MAUSER (usine de Borsigwalde) : S/243 jusqu'en 1938, puis 243 jusqu'en 1941 et ar ensuite.
-J.P. SAUER & SOHN : S/147 jusqu'en 1938, puis 147 jusqu'en 1941, puis ce à partir de 1943.
-STEYR-DAIMLER-PUCH : 660 de 1939 à 1940, puis bnz .
Il arrive plus rarement de rencontrer des K.98 k portant deux codes de fabricants sur la chambre (bcd/ar ou ax/ar par exemple), il s'agit alors d'armes montées à partir de composants provenant chacun des deux fabricants.
Dans les derniers mois de 1945, le marquage de chambre porte mention du modèle de l'arme sous lequel figure le code de fabricant suivi des deux derniers chiffres du millésime. par exemple : mod.98 svw 45 (modèle 98, fabriqué pr Mauser en 1945).
Poinçons d'épreuve et de réception :
Du coté gauche du canon et du boitier sont apposés les poinçons d'épreuve: aigles à ailes basses dans les premières années du régime, aigle à aile horizontales surmontant une croix gammé par la suite.
les autres pièces sont marquées des poinçons des contrôleurs du service du matériel de l'armée (Heereswaffenamt), attachés à chaque usine (aigle stylisé surmontant un numéro de code). Ces poinçons apposés sur la plupart des pièces de l'arme dans les premières années de guerre, ne seront plus apposés par la suite que sur les parties principales.
Le coté droit de la crosse porte également des poinçons de contrôle (deux en début de guerre en général puis un seul par la suite), ainsi qu'un aigle surmontant l'initiale de l'organisme destinataire de l'arme :
-un "H" pour l'armée de terre (Heer)
-un "M" pour la marine (Kriegsmarine)
-un "L" pour l'armée de l'air (Luftwaffe)
on peut également rencontrer des marquages propres à chaque fabricants ou des codes numériques sur certaines pièces fournies à l'usine assemblant les carabines par les établissements travaillant en sous-traitance.
Accessoires pour le K.98 k
a) protège-guidon et couvre-bouche
Le K.98 est doté à l'origine d'un couvre-bouche faisant également office de protège-guidon. Ce accessoire, de conception identique à celui qui équipait le G.98 du précédent conflit, est uniquement destiné à protéger le guidon et la bouche de l'arme ainsi qu'à prévenir l'entrée de corps étrangers dans le canon. Un petit couvercle articulé permet sur les modèles fabriqués jusqu'au début de la guerre, de protéger la bouche de l'arme au cours du nettoyage du canon.
A partir de la fin de l'année 1939, les K.98 sont livrées avec un protége-guidon en tôle repliée, monté à demeure grâce à deux rainures usinées de part et d'autre du pied du guidon. Les couvre-bouches métalliques n'étant plus utilisables avec le protège-guidon, un simple bouchon de caoutchouc de couleur gris-vert ou rougeâtre est désormais délivré pour obstruer la bouche de la carabine en dehors des périodes d'utilisation. Outre une meilleure étanchéité à l'humidité, ce couvre-bouche présente l'avantage, si l'on omet de l'enlever avant le tir, de se désintégrer sans projeter d'éclats dangereux.
chaque soldats reçoit une dotation de quatre bouchons de canon de ce type. Des bouchons de conceptions identiques sont mis en service pour les pistolets-mitrailleurs et les mitrailleuses.
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b) nécessaire de nettoyage modèle 34 (Reinigungsgerät 34 ou R.G.34)
En 1934 est adopté un nécessaire de nettoyage pour les armes d'épaule. Cet accessoire, très bien conçu, se compose d'un boitier rectangulaire en tôle emboutie doté d'un couvercle à chaque extrémité. A l'une des extrémité, un logement de petite taille contient de la mèche d'étoupe ou des chiffons de nettoyage. L'autre compartiment auquel donne accès le second couvercle contient le matériel de nettoyage comportant :
- une chainette lestée servant de tire-chiffons ou de tire-brosse.
- une brosse de crin et une brosse mi-crin, mi-bronze, destinées à être accrochées à la chainette.
- une burette à huile.
- un grattoir permettant de nettoyer la chambre de l'arme.
A partir de 1936, ce grattoir sera muni d'un téton destiner à s'engager dans le logement du verrou de la plaque de fond de magasin, pour en faciliter le démontage. Sur les versions de fin de guerre, ce téton cessera d'être monté sur le grattoir.
Les boitiers sont peints en gris-vert ou en bleu foncé. Il arrive aussi de rencontrer des boitiers étamés.
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c) Lance-grenades (Gewehrgranatgerät 42)
La carabine K.98 peut être équipée d'un lance-grenade fixé à l'extrémité de son canon. La propulsion est assuré par une cartouche sans balle ou à balle de bois selon les cas. La visée s'effectue à l'aide d'un collimateur qui vient se fixer à gauche du fût grâce à un bracelet verrouillé par une vis. Deux types de lance-grenades semblent avoir été utilisés :
-un tube appelé "Schiessbercher mit Klappkorn" (embout de canon avec guidon repliable) qui vient s'enfiler à l'extrémité du canon et se verrouille sur le porte-baïonnette.
Un petit guidon basculant (Klappkorn) se déplie du coté gauche et permet la visée en association avec la hausse placée sur le collimateur fixé au fût de l'arme.
Ce lance-grenade est exclusivement prévu pour le lancement d'une grenade antichar empenné appelée "GG/P40" (Gewehrgranate zur Panzerbekämpfung 40 , grenade à fusil antichar modèle 40) qui vient s'enfiler sur le tube.
Cette version surtout utilisée en début de guerre semble avoir été assez peu diffusée.
-Le second appelé "Gewehrgrenatengerät" (dispositif pour grenade à fusil ou G.Gr.Ger en abrégé) a été employé à beaucoup plus large échelle et semble avoir presque totalement remplacé le premier modèle dès le milieu des hostilités. A l'inverse du premier, il s'agit d'un tromblon lance-grenade que l'utilisateur emmanche à l'extrémité du canon et verrouille grâce à une volumineuse charnière qui vient se bloquer derrière le guidon.
Dans ce tromblon, peuvent être lancées différents types de grenades anti-personnels, anti-chars,éclairantes ou même des grenades dites "de propagande", destinées à disséminer des tracts au dessus des lignes ennemies.
Un trépied destiné à supporter la carabine K.98 lors du tir de grenades fut essayé mais ne connut guère de diffusion. L'encombrement d'un tel accessoire ôtait en effet ses principaux intérêt au fusil lance-grenade : la légèreté et la mobilité.
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d) Détente d'hiver (Winterabzug)
a la suite de la première campagne d'hiver en Russie est mis au point une série de dispositif permettant d'actionner le détente des principales armes d'infanterie : MP40, MG34 et carabine K.98 avec des moufles.
la détente d'hiver de la carabine a la forme de deux flasques ovale qui se fixent de part et d'autre du pontet par deux ressorts. Un levier à l'extrêmité large permet d'actionner la queue de détente. Cet accessoire marqué "Mod.98" du coté droit est désigné sous le nom de "Winterabzug" (détente d'hiver).
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e) cartouchière (Patronentasche)
L'ensemble de la Werhmarcht est équipé de deux cartouchières de type unique pour tous les corps, adoptée en 1918 et reprenant le dessin de la cartouchière type 1911 de cavalerie. Le cuire de ces cartouchières est le plus souvent noire. chacune des poches contiennent 2 lames chargeur de 5 cartouches de 7,92, ce qui fait un total de 60 coups.
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Le K.98 k a lunette
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Le fusil allemand de tireur d'élite employé au cours de la seconde guere mondiale est une simple carabine K.98 de série, sélectionnée pour avoir réalisé d'excelents groupements lors des tirs d'essai effectués en usine.
Les photos d'époque montrent que les Gewehr 98 à lunette seront également remis en service, au cours de la seconde guerre mondiale, particulièrement dans la Waffen S.S.
Bien qu'une version de la K.98 k équipée d'une lunette à grossissement 4X, la ZF39 ait été adoptée au début de la guerre, l'armée allemande préparée à une stratégie de mouvement, se trouve assez mal équipée en carabines à lunette.
En 1941, cette carence devient préoccupante dès l'attaque de l'Union Soviétique, les troupes allemandes subissent des pertents importantes dues aux nombreux snipers utilisés par l'armée Russe.
La fabrication de fusils à lunette est rapidement accélerée en Allemagne et les centres de formartion de tireurs d'élite se multiplient au point d'atteindre à la fin de la guerre le nombre de 30, ayant chacun une capacité de formation mensuelle d'environ 20 élèves.
En opérations, chaque compagnie d'infanterie est en principe dotée d'un fusil à lunette pouvant être servi par un tireur capable d'engager avec efficacité des cibles jusqu'à une distance de 400 m.
Il existe des tireurs d'élite (scharfschützen) spécialisés, opérant par groupe de deux, chargés d'éliminer les chefs de section, les servants de mitrailleuses ou d'armes lourdes et lutter aussi contre les snipers ennemis.
-La ZF 41 sera la lunette la plus répendue dans l'armée allemande pendant la seconde guerre mondiale, (ZF = Zielferntohr : lunette de visée), une bague située à l'avant de la lunette permet un reglage pour les distances de 100 à 800 m. Du fait de son faible grossissement et son champ de vision réduit, la ZF 41 a toujours été considérée comme une lunette médiocre.
-La lunette ZF 39 sont des lunettes de grossissement 4 (Zielvier), fabriquées selon les spécifications militaires par divers fabricants dont les principaux sont Hensoldt et Dialytan. le reglage est effectué par un tambour gradué de 100 à 800 m situé à leur partie supérieure.
Sur le fron de l'Est, il n'est pas rare que les tireurs d'élite allemands empoyent également des fusils à lunette russes capturés.
Un tireur d'élite allemand était capable de toucher une tête jusqu'à 300 m de distance et un torse jusqu'à 600 m, outre le tir l'observation et le camouflage, une part importante de leur entrainement était consacrée à l'évaluation des distances. Les meilleurs tireurs d'élite de l'époque étaient capables de toucher un homme à 1000 m. Le tireur d'élite particulièrement efficaces était Mateus Hetzenhauer il lui fut attribuée l'élimination de 345 combattants ennemies.
A la différence de la wehrmacht, les tireur d'élite des Waffen S.S. ont choisi dès le début de la guerre de s'équiper largement en carabines K.98 k à lunette de grossissement 4X. Cette politique a reçu le soutien du chef suprême de la
S.S. : le Reichsführer S.S. Heinrich Himmler.
Les filières d'approvisionnement S.S. étant indépendant de celles de la Wehrmacht, les carabines K.98 k du modèle standard ont été équipées de lunettes du commerce de marques allemandes diverses, ainsi que d'excellentes lunettes tchèques fabriquées par Opticotechna (code : dow).
Certaines carabines portent sur le tonnerre ou la base du canon des poinçons de controles des ateliers S.S. : tête de mort ou runes S.S.
Code fabricants
-Dialyatan code : bmj
-opticotechna code : dow Ces lunettes étaient fabiquées au bénéfice des Waffen S.S. à l'usine de Prerau dans un protectorat de Bohème-Moravie (ancienne Tchécoslovaquie).
-Kahles-Vienne code : cad
-Zeiss plus rarement avec un grossissement de 6X code : blc
Armes utilisées par les S.S.
Les S.S. parviennent à créer dès la veille de la seconde guerre mondiale quelques régiments militarisés : les Verfügungstruppen, puis deux divisions , la Leibstandarte Adolf Hitler et la Totenkopf. Ces unités formeront le noyau de la future S.S. militaire (waffen S.S.).
les difficultés qu'éprouvent les S.S. à se procurer des armes modernes ne seront pas résolues immédiatement par l'arrivée au pouvoir d'Hitler. Le processus de réarmement mis en oeuvre à partir de 1935 est mené en priorité au profit de la nouvelle Wehrmacht qui s'oppose fermement à ce que les armes neuves soit détournées au profit des organismes paramilitaires du parti.
Longtemps encore les régiments S.S. doivent se contenter de vieux Gewehr 98, c'est propablement a cette période que sont transformeés un certain nombre de G.98, par les ateliers S.S.
La principale particularité de ces fusils réside dans la présence à la base du canon d'un poinçon représentant un "tête de mort" surmontée d'une croix ou placée au dessus des initiales S.S. en lettre runiques. Il convient toutefois de rester prudent vis à vis de cette interprétation qu'aucun document d'époque n'a encore permis de confirmer à ce jour.
La prise de controle par l'Allemagne d'une partie du territoire Tchécoslovaque a permis la récupération d'une importante quantité de matériel militaire, parmi lequel un grand nombre d'escellentes carabines VZ 24 en calibre 7,92 mm, qui seront en grande majorité renversées à la Waffen S.S.
Les carbines Gustloff livrées aux S.S. (l'usine de fabrication est intallée dans le camp de Buchenwald), ne portent pas de marquages distinctifs, alors que certaines carabines Steyr sont frappées sur la chambre et sur certaines pièces d'un "S" runique.
Il existe également des carabines K.98 k d'autres fabrications, frappées de minuscules lettre S.S. runiques, de têtes de mort ou de poinçons de réception S.S. (SS ZA 4 sous un aigle).
L"interprètation exacte de ces poiçons reste toujours incertaines et controversée, l'hypothsése la plus plausible serait
que les armes aient été directement commandées auprés de divers fabricants par les S.S. et poinçonnées après controles par un des bureaux de l'office central S.S. du marériel (S.S Zentralzeugamt, en abrégé "S.S.Z.A).
Pendant la Seconde Guerre mondiale la K.98 k était l'équivalent fonctionnel du Springfield M1903 américain ou du Lee Enfield nº4 britannique, mais était inférieure au Garand capable de tirer en semi-automatique. La Kar.98 k était supérieur par sa munition plus lourde et plus puissante que le 30-06 américain.
Le mécanisme du Mauser 1898 et 98k est le fameux système Mauser, il est très apprécié par les chasseurs et les tireurs sportifs grâce au multiples calibres proposé par des marques qui reprennent ce système fiable et simple qu'est le système Mauser (Parker Hale 1000, 1100, 1200…). La production de cette carabine a été telle que l'on trouve encore aujourd'hui des quantités formidables de pièces de rechange neuves d'origine. Le système Mauser est encore de nos jours une marque de qualité et de robustesse.
Le bois utilisé de 1934 à 1939 était du noyer massif , puis dû au manque de bois de qualité, il fut recouru au bois de hêtre lamellé-collé, c'est-à-dire que le bois intérieur était fait à partir de bois aggloméré et l'extérieur sur une épaisseur de 2,5 mm était composé de lamelle de bois collé à chaud. Cette technique lui permettait d'être aussi solide que du bois massif, mais légèrement plus lourd que le noyer.
Caractéristiques
* Calibre : 8 x 57 JS également appelé « 7.92 x 57 mm » ou « 8 mm Mauser »
* Longueur : 110 cm
* Longueur du canon : 59,94 cm
* Poids : 3,92 kg (crosse en noyer) ou 4,2 kg (crosse en lamellé-collé)
* Magasin : magasin interne, rechargement à l'unité ou par clip
* Capacité : 5 coups
* Cadence de tir : approximativement 15 tirs par minute
* Hausse à curseur tangentielle graduée de 100 à 2 000 mètres
* Portée pratique: 500 m (547 yd) (avec la hausse)/800+ m (875 yd) (avec lunette)
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Karabiner 98k
ont doit son invention a deux armuriers allemands: Paul et Wilhelm Mauser.
A partir de 1871, l'histoire de la firme qu'ils fondent dans la petite ville de wurtembourgeoise d'Oberndorf deviendra inséparable de celle du fusil militaire en Allemagne jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale. Le succès des mécanismes Mauser leur vaudra d'être fabriqués avec ou sans licence dans plus de dix pays et de constituer l'arme réglementaire d'une trentaine de nations.
C'est en 1871 que le premier fusil a culasse Mauser (M.71) sort de l'arsenal royal de Spandau, les armes du modèle 1871 sont adoptées par l'ensemble des états allemands excepté le royaume de Bavière dont l'armée conserve le fusil Werder. Ce n'est qu'en 1877 que la Bavière adopte elle aussi le Mauser modèle 1871.
Malgré un important effort d'équipement, les arsenaux royaux ne peuvent satisfaire assez rapidement les besoins des armées des différents états allemands.
une part importante de la fabrication des armes d'épaule du système 1871 doit donc être confiée au secteur privé :
- la manufacture d'armes de Steyr en autriche (Ostereichische Waffensfabriks-Gesellschft) devient de ce fait l'un des principaux fabricants du fusil.
- le consortium des armuriers de Suhl composé des firmes Spangenberg, Sauer, schilling et Haenel fournit également une appréciable quantité d'armes. Ses produits sont marquées du sigle "AGH" (Arbeitsgemeinschaft Haenel).
Le Fusil d'infanterie (Infanteriegewehr M.71)
Long de 135 cm (dont 83 cm de longueur de canon), le fusil d'infanterie pèse 4500g. Il est doté d'une hausse complexe tenant compte de la trajectoire peu tendue du projectile de 11 mm modèle 1871 :
- deux crans de mire pour les distances usuelles du combat d'infanterie : 200 m e l'autre monté sur une feuillet rabattable pour le distance de 300 m.
- une planchette de hausse rabattable qui permet grâce à un jeu complexe de quatre crans de mire et d'une rallonge de couvrir les distances de 400 m à 1600 m.
Après son déclassement, le mauser 1871 sera revendu à différents pays balkaniques, à la Chine et à l'Uruguay. Quelques milliers de M.71 seront également introduits en contrebande en Irlande à la veille et au cours de la première guerre mondiale ou ils armeront les insurgés catholiques lors de la guerre civile.
En Allemagne, les stocks d'armes du modèle 71 conservés dans les arsenaux seront utilisés pour armer les troupes de seconde ligne au cours de la première guerre mondiale. (un exemplaire ce trouve toujours au musée de la légion Étrangère d'Aubagne).
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Le M.71 est chambré a cette époque en calibre 11 mm, afin d'obtenir de meilleurs performance balistiques, Paul Mauser étudie le passage du calibre 11 mm à un calibre légèrement inférieur : 9,5 mm dont la trajectoire est plus tendue que celle de la 11 mm . L’Allemagne étant entièrement équipée de fusils quasiment neufs en calibre 11 mm, la nouvelle munition n'a aucune chance d'y être adoptée à court terme. Paul Mauser qui a succédé à son défunt frère Wilhelm, va donc se retourner vers les armées étrangères.
Après trois mois de tractations et d'essais, Paul Mauser rentre à Oberndorf muni d'une fabuleuse commande du gouvernement turc portant sur 50 000 carabines à répétition système Mauser.
En 1884, un chimiste français, Paul Vieille, met au point une nouvelle poudre dite "sans fumée" qui révolutionne les données établies en matière d'armement et surclasse dès son apparition, la poudre noire jusqu'alors universellement employée.
Son emploi permet de diminuer la fumée qui s'échappe de la bouche des armes à feu après le départ du coup, ceci rend plus difficile le repérage du tireur ou de la pièce et évite qu'après quelques coups, il ne soit environné par un nuage l'empêchant de régler son tir.
De cette invention,en 1888 le nouveau fusil voit rapidement le jour, le M.88 qui sera chambré en calibre 8 mm à pointe arrondie, la mise en service du fusil 88 ne tarde pas à être suivie d'une série de rapports d'incident et de réclamations. Ce fusil mis au point et fabriqué en toute hâte, comporte en effet des défauts qui ne se révèlent qu'à l'usage. Pendant toute sa carrière, le fusil 88, qui aurait pu, moyennant la correction de quelques défauts devenir un honnête fusil d'infanterie, souffrira de la précipitation apportée à sa mise en fabrication.
Face aux fusils ultra-modernes construits sur le sol national pour l'étranger et parfois pour des ennemis potentiels, le fusil allemand modèle 1888 fait piètre figure d'autant plus qu'une quantité anormale d'accident parfois graves fint par saper totalement la confiance des militaires allemands envers cette arme. C'est pourquoi la commission dévaluation de spandau (Gewehr Prüfungskomission ou G.P.K) envisage, dès 1893, le remplacement du fusil 1888.
Le fusil modèle 1898
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Un prototype modifié conformément aux résultats des essais en corps de troupe est finalement retenu par la G.P.K. Ce modèle final est un fusil de 125 cm de long, pesant 4100 gr, avec un calibre de 7,92 mm, à 5 coups alimenté par lame chargeur, muni d'une hausse de type Lange, graduée de 200 à 2000 m, doté d'une crosse demi-pistolet, et d'un court garde main s'étendant du pied de hausse au bracelet de grenadière.
Cet ultime prototype est officiellement adopté le 5 avril 1898, sous l'appellation de "Gewehr 98 ". Le choix de ce modèle par l'armée allemande représente l'aboutissement des espoirs si souvent déçus de Paul Mauser.
Le Gewehr 98 est une arme quasiment parfaite. Son remarquable mécanisme de culasse équipera un grand nombre de fusils militaires à verrou pendant plus de soixante ans. Sous une forme à peine modifiée, il continue à être utilisé de nos jours sur la plupart des carabines de grande chasse.
Le Gewehr 98 est mis en fabrication dans les arsenaux royaux de Spandau, Erfut et Danzig ainsi que par l'arsenal royal de Bavière d'Amberg.
Afin de réequiper rapidement l'armée, l'industrie privée participe également à sa fabrication. Mauser et D.W.M. fabriquent de grandes quantités de Gewehr 98. A ces deux firmes viendront s'ajouter, au cours de la première guerre mondiale, d'autres grandes manufactures d'armes privées :
-J.P. Sauer & Sohn
-W.Chr. Schilling
-C.G. Haenel
-Waffenwerke Oberspree
-Simson & Co.
L'année 1914 voit la la disparition de Paul Mauser, le 29 mai. Quelques mois plus tard, le déclenchement de la première guerre mondiale met un terme brutal à l"extraordinaire développement des exportations de fusils système Mauser. Les usines allemandes et autrichiennes vont désormais abandonner les marchés étranger pour satisfaire les énormes besoins nationaux et ceux de l’allié turc.
La carabine K.98 sous le III ème Reich
L'arrivée au pouvoir en janvier 1933 du parti nazi est rapidement suivi d'une montée en puissance de l'armée allemande, préparée depuis plus de dix ans par la Reichswehr.
L'IWG prend désormais le nom de Heerswaffenamt (service de l'armement de l'armée). Ce service est chargé de l'étude des armements nouveaux et du contrôle des fabrications industrielles destinées aux forces armées. les poinçons de ses contrôleurs composés d'un aigle surmontant les initiales "WaA" (Waffenamt) suivies du numéro de chaque bureau de contrôle ne tardent pas à parsemer les pièces d'équipement les plus variées de l'armée allemande.
L'un des premiers soins du waffenamt est de fixer définitivement les caractéristiques de l'arme d'épaule unique qui équipera la Wehrmacht.
C'est ainsi que le 14 juin 1935 est adoptée le K.98, l'arme est désignée sous le nom de Karabiner 98 kurtz ou K.98 k
(carabine 98 courte). Car le fusil choisi est raccourcie de 14 cm par rapport au G.98.
Cette version est aussitôt mise en production dans les usines Mauser et Sauer, de nombreux autres fabricants produiront par la suite cette arme pour répondre aux besoins de l'armée allemande.
Identification du fabricant
La dissimulation de l'identité du constructeur sous un code alphabétique ou alphanumérique, inaugurée sur les premières carabine Sauer en 1934 persistera tout au long de la guerre.
Au fur et à mesure du déroulement de la guerre, le nombre de fabricants de carabines K.98k augmente, outre Mauser, au moins six fabriquants produiront des K.98 k. On évalue à plus de 14 millions le nombre total de K.98k fabriqués au cours du conflit par les usines contrôlées par le Reich :
-BERLIN LÜBECKER MASCHINENFABRIK : S/237 jusqu'en 1938, puis 237 jusqu'en 1940, puis duv.
-BRÜNN WAFFENWERKE (nom allemand de la ville de Brno en Tchécoslovaquie occupée) : dot (production débutant en 1943 après la reconversion des chaines de production des fusils VZ 24 pour la fabrication des K.98 k. Ce code devient swp dans les derniers mois de guerre.
-BRYSTICA WAFFENWERKE (annexe de la précédente) fabrique tout d'abord des G.24 dérivés des modèles tchèques, puis à partir de 1942 des K.98 k identifiables au code dou frappé sur la chambre.
-ERMA : S/27 jusqu'en 1938, puis 27 jusqu"en 1940, puis ax
-GUSTLOFFWERKE : Cette firme commence à produire des carabines K.98 en 1938 en utilisant les installations de la firme B.S.W. (Berliner-Suhler waffen und Fahrzeugwerke) dont elle a pris le contrôle. B.S.W est la nouvelle désignation de l'ancienne firme simson après son expropriation par les Nazis.
Des carabines K.98, à chambre merquée des intiales BSW sont fabriquées jusq'en 1939. Ces initiales laissent à partir de 1939 au code des usines Gustloff : 337 de 1939, qui devient bcd à partir de 1941.
-MAUSER (usine d'Oberndorf) : S/42 de 1934 à 1937, 42 de 1938 à 1941,byf de 1941 à 1944, puis svw.
-MAUSER (usine de Borsigwalde) : S/243 jusqu'en 1938, puis 243 jusqu'en 1941 et ar ensuite.
-J.P. SAUER & SOHN : S/147 jusqu'en 1938, puis 147 jusqu'en 1941, puis ce à partir de 1943.
-STEYR-DAIMLER-PUCH : 660 de 1939 à 1940, puis bnz .
Il arrive plus rarement de rencontrer des K.98 k portant deux codes de fabricants sur la chambre (bcd/ar ou ax/ar par exemple), il s'agit alors d'armes montées à partir de composants provenant chacun des deux fabricants.
Dans les derniers mois de 1945, le marquage de chambre porte mention du modèle de l'arme sous lequel figure le code de fabricant suivi des deux derniers chiffres du millésime. par exemple : mod.98 svw 45 (modèle 98, fabriqué pr Mauser en 1945).
Poinçons d'épreuve et de réception :
Du coté gauche du canon et du boitier sont apposés les poinçons d'épreuve: aigles à ailes basses dans les premières années du régime, aigle à aile horizontales surmontant une croix gammé par la suite.
les autres pièces sont marquées des poinçons des contrôleurs du service du matériel de l'armée (Heereswaffenamt), attachés à chaque usine (aigle stylisé surmontant un numéro de code). Ces poinçons apposés sur la plupart des pièces de l'arme dans les premières années de guerre, ne seront plus apposés par la suite que sur les parties principales.
Le coté droit de la crosse porte également des poinçons de contrôle (deux en début de guerre en général puis un seul par la suite), ainsi qu'un aigle surmontant l'initiale de l'organisme destinataire de l'arme :
-un "H" pour l'armée de terre (Heer)
-un "M" pour la marine (Kriegsmarine)
-un "L" pour l'armée de l'air (Luftwaffe)
on peut également rencontrer des marquages propres à chaque fabricants ou des codes numériques sur certaines pièces fournies à l'usine assemblant les carabines par les établissements travaillant en sous-traitance.
Accessoires pour le K.98 k
a) protège-guidon et couvre-bouche
Le K.98 est doté à l'origine d'un couvre-bouche faisant également office de protège-guidon. Ce accessoire, de conception identique à celui qui équipait le G.98 du précédent conflit, est uniquement destiné à protéger le guidon et la bouche de l'arme ainsi qu'à prévenir l'entrée de corps étrangers dans le canon. Un petit couvercle articulé permet sur les modèles fabriqués jusqu'au début de la guerre, de protéger la bouche de l'arme au cours du nettoyage du canon.
A partir de la fin de l'année 1939, les K.98 sont livrées avec un protége-guidon en tôle repliée, monté à demeure grâce à deux rainures usinées de part et d'autre du pied du guidon. Les couvre-bouches métalliques n'étant plus utilisables avec le protège-guidon, un simple bouchon de caoutchouc de couleur gris-vert ou rougeâtre est désormais délivré pour obstruer la bouche de la carabine en dehors des périodes d'utilisation. Outre une meilleure étanchéité à l'humidité, ce couvre-bouche présente l'avantage, si l'on omet de l'enlever avant le tir, de se désintégrer sans projeter d'éclats dangereux.
chaque soldats reçoit une dotation de quatre bouchons de canon de ce type. Des bouchons de conceptions identiques sont mis en service pour les pistolets-mitrailleurs et les mitrailleuses.
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b) nécessaire de nettoyage modèle 34 (Reinigungsgerät 34 ou R.G.34)
En 1934 est adopté un nécessaire de nettoyage pour les armes d'épaule. Cet accessoire, très bien conçu, se compose d'un boitier rectangulaire en tôle emboutie doté d'un couvercle à chaque extrémité. A l'une des extrémité, un logement de petite taille contient de la mèche d'étoupe ou des chiffons de nettoyage. L'autre compartiment auquel donne accès le second couvercle contient le matériel de nettoyage comportant :
- une chainette lestée servant de tire-chiffons ou de tire-brosse.
- une brosse de crin et une brosse mi-crin, mi-bronze, destinées à être accrochées à la chainette.
- une burette à huile.
- un grattoir permettant de nettoyer la chambre de l'arme.
A partir de 1936, ce grattoir sera muni d'un téton destiner à s'engager dans le logement du verrou de la plaque de fond de magasin, pour en faciliter le démontage. Sur les versions de fin de guerre, ce téton cessera d'être monté sur le grattoir.
Les boitiers sont peints en gris-vert ou en bleu foncé. Il arrive aussi de rencontrer des boitiers étamés.
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c) Lance-grenades (Gewehrgranatgerät 42)
La carabine K.98 peut être équipée d'un lance-grenade fixé à l'extrémité de son canon. La propulsion est assuré par une cartouche sans balle ou à balle de bois selon les cas. La visée s'effectue à l'aide d'un collimateur qui vient se fixer à gauche du fût grâce à un bracelet verrouillé par une vis. Deux types de lance-grenades semblent avoir été utilisés :
-un tube appelé "Schiessbercher mit Klappkorn" (embout de canon avec guidon repliable) qui vient s'enfiler à l'extrémité du canon et se verrouille sur le porte-baïonnette.
Un petit guidon basculant (Klappkorn) se déplie du coté gauche et permet la visée en association avec la hausse placée sur le collimateur fixé au fût de l'arme.
Ce lance-grenade est exclusivement prévu pour le lancement d'une grenade antichar empenné appelée "GG/P40" (Gewehrgranate zur Panzerbekämpfung 40 , grenade à fusil antichar modèle 40) qui vient s'enfiler sur le tube.
Cette version surtout utilisée en début de guerre semble avoir été assez peu diffusée.
-Le second appelé "Gewehrgrenatengerät" (dispositif pour grenade à fusil ou G.Gr.Ger en abrégé) a été employé à beaucoup plus large échelle et semble avoir presque totalement remplacé le premier modèle dès le milieu des hostilités. A l'inverse du premier, il s'agit d'un tromblon lance-grenade que l'utilisateur emmanche à l'extrémité du canon et verrouille grâce à une volumineuse charnière qui vient se bloquer derrière le guidon.
Dans ce tromblon, peuvent être lancées différents types de grenades anti-personnels, anti-chars,éclairantes ou même des grenades dites "de propagande", destinées à disséminer des tracts au dessus des lignes ennemies.
Un trépied destiné à supporter la carabine K.98 lors du tir de grenades fut essayé mais ne connut guère de diffusion. L'encombrement d'un tel accessoire ôtait en effet ses principaux intérêt au fusil lance-grenade : la légèreté et la mobilité.
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d) Détente d'hiver (Winterabzug)
a la suite de la première campagne d'hiver en Russie est mis au point une série de dispositif permettant d'actionner le détente des principales armes d'infanterie : MP40, MG34 et carabine K.98 avec des moufles.
la détente d'hiver de la carabine a la forme de deux flasques ovale qui se fixent de part et d'autre du pontet par deux ressorts. Un levier à l'extrêmité large permet d'actionner la queue de détente. Cet accessoire marqué "Mod.98" du coté droit est désigné sous le nom de "Winterabzug" (détente d'hiver).
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e) cartouchière (Patronentasche)
L'ensemble de la Werhmarcht est équipé de deux cartouchières de type unique pour tous les corps, adoptée en 1918 et reprenant le dessin de la cartouchière type 1911 de cavalerie. Le cuire de ces cartouchières est le plus souvent noire. chacune des poches contiennent 2 lames chargeur de 5 cartouches de 7,92, ce qui fait un total de 60 coups.
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Le K.98 k a lunette
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Le fusil allemand de tireur d'élite employé au cours de la seconde guere mondiale est une simple carabine K.98 de série, sélectionnée pour avoir réalisé d'excelents groupements lors des tirs d'essai effectués en usine.
Les photos d'époque montrent que les Gewehr 98 à lunette seront également remis en service, au cours de la seconde guerre mondiale, particulièrement dans la Waffen S.S.
Bien qu'une version de la K.98 k équipée d'une lunette à grossissement 4X, la ZF39 ait été adoptée au début de la guerre, l'armée allemande préparée à une stratégie de mouvement, se trouve assez mal équipée en carabines à lunette.
En 1941, cette carence devient préoccupante dès l'attaque de l'Union Soviétique, les troupes allemandes subissent des pertents importantes dues aux nombreux snipers utilisés par l'armée Russe.
La fabrication de fusils à lunette est rapidement accélerée en Allemagne et les centres de formartion de tireurs d'élite se multiplient au point d'atteindre à la fin de la guerre le nombre de 30, ayant chacun une capacité de formation mensuelle d'environ 20 élèves.
En opérations, chaque compagnie d'infanterie est en principe dotée d'un fusil à lunette pouvant être servi par un tireur capable d'engager avec efficacité des cibles jusqu'à une distance de 400 m.
Il existe des tireurs d'élite (scharfschützen) spécialisés, opérant par groupe de deux, chargés d'éliminer les chefs de section, les servants de mitrailleuses ou d'armes lourdes et lutter aussi contre les snipers ennemis.
-La ZF 41 sera la lunette la plus répendue dans l'armée allemande pendant la seconde guerre mondiale, (ZF = Zielferntohr : lunette de visée), une bague située à l'avant de la lunette permet un reglage pour les distances de 100 à 800 m. Du fait de son faible grossissement et son champ de vision réduit, la ZF 41 a toujours été considérée comme une lunette médiocre.
-La lunette ZF 39 sont des lunettes de grossissement 4 (Zielvier), fabriquées selon les spécifications militaires par divers fabricants dont les principaux sont Hensoldt et Dialytan. le reglage est effectué par un tambour gradué de 100 à 800 m situé à leur partie supérieure.
Sur le fron de l'Est, il n'est pas rare que les tireurs d'élite allemands empoyent également des fusils à lunette russes capturés.
Un tireur d'élite allemand était capable de toucher une tête jusqu'à 300 m de distance et un torse jusqu'à 600 m, outre le tir l'observation et le camouflage, une part importante de leur entrainement était consacrée à l'évaluation des distances. Les meilleurs tireurs d'élite de l'époque étaient capables de toucher un homme à 1000 m. Le tireur d'élite particulièrement efficaces était Mateus Hetzenhauer il lui fut attribuée l'élimination de 345 combattants ennemies.
A la différence de la wehrmacht, les tireur d'élite des Waffen S.S. ont choisi dès le début de la guerre de s'équiper largement en carabines K.98 k à lunette de grossissement 4X. Cette politique a reçu le soutien du chef suprême de la
S.S. : le Reichsführer S.S. Heinrich Himmler.
Les filières d'approvisionnement S.S. étant indépendant de celles de la Wehrmacht, les carabines K.98 k du modèle standard ont été équipées de lunettes du commerce de marques allemandes diverses, ainsi que d'excellentes lunettes tchèques fabriquées par Opticotechna (code : dow).
Certaines carabines portent sur le tonnerre ou la base du canon des poinçons de controles des ateliers S.S. : tête de mort ou runes S.S.
Code fabricants
-Dialyatan code : bmj
-opticotechna code : dow Ces lunettes étaient fabiquées au bénéfice des Waffen S.S. à l'usine de Prerau dans un protectorat de Bohème-Moravie (ancienne Tchécoslovaquie).
-Kahles-Vienne code : cad
-Zeiss plus rarement avec un grossissement de 6X code : blc
Armes utilisées par les S.S.
Les S.S. parviennent à créer dès la veille de la seconde guerre mondiale quelques régiments militarisés : les Verfügungstruppen, puis deux divisions , la Leibstandarte Adolf Hitler et la Totenkopf. Ces unités formeront le noyau de la future S.S. militaire (waffen S.S.).
les difficultés qu'éprouvent les S.S. à se procurer des armes modernes ne seront pas résolues immédiatement par l'arrivée au pouvoir d'Hitler. Le processus de réarmement mis en oeuvre à partir de 1935 est mené en priorité au profit de la nouvelle Wehrmacht qui s'oppose fermement à ce que les armes neuves soit détournées au profit des organismes paramilitaires du parti.
Longtemps encore les régiments S.S. doivent se contenter de vieux Gewehr 98, c'est propablement a cette période que sont transformeés un certain nombre de G.98, par les ateliers S.S.
La principale particularité de ces fusils réside dans la présence à la base du canon d'un poinçon représentant un "tête de mort" surmontée d'une croix ou placée au dessus des initiales S.S. en lettre runiques. Il convient toutefois de rester prudent vis à vis de cette interprétation qu'aucun document d'époque n'a encore permis de confirmer à ce jour.
La prise de controle par l'Allemagne d'une partie du territoire Tchécoslovaque a permis la récupération d'une importante quantité de matériel militaire, parmi lequel un grand nombre d'escellentes carabines VZ 24 en calibre 7,92 mm, qui seront en grande majorité renversées à la Waffen S.S.
Les carbines Gustloff livrées aux S.S. (l'usine de fabrication est intallée dans le camp de Buchenwald), ne portent pas de marquages distinctifs, alors que certaines carabines Steyr sont frappées sur la chambre et sur certaines pièces d'un "S" runique.
Il existe également des carabines K.98 k d'autres fabrications, frappées de minuscules lettre S.S. runiques, de têtes de mort ou de poinçons de réception S.S. (SS ZA 4 sous un aigle).
L"interprètation exacte de ces poiçons reste toujours incertaines et controversée, l'hypothsése la plus plausible serait
que les armes aient été directement commandées auprés de divers fabricants par les S.S. et poinçonnées après controles par un des bureaux de l'office central S.S. du marériel (S.S Zentralzeugamt, en abrégé "S.S.Z.A).
Pendant la Seconde Guerre mondiale la K.98 k était l'équivalent fonctionnel du Springfield M1903 américain ou du Lee Enfield nº4 britannique, mais était inférieure au Garand capable de tirer en semi-automatique. La Kar.98 k était supérieur par sa munition plus lourde et plus puissante que le 30-06 américain.
Le mécanisme du Mauser 1898 et 98k est le fameux système Mauser, il est très apprécié par les chasseurs et les tireurs sportifs grâce au multiples calibres proposé par des marques qui reprennent ce système fiable et simple qu'est le système Mauser (Parker Hale 1000, 1100, 1200…). La production de cette carabine a été telle que l'on trouve encore aujourd'hui des quantités formidables de pièces de rechange neuves d'origine. Le système Mauser est encore de nos jours une marque de qualité et de robustesse.
Le bois utilisé de 1934 à 1939 était du noyer massif , puis dû au manque de bois de qualité, il fut recouru au bois de hêtre lamellé-collé, c'est-à-dire que le bois intérieur était fait à partir de bois aggloméré et l'extérieur sur une épaisseur de 2,5 mm était composé de lamelle de bois collé à chaud. Cette technique lui permettait d'être aussi solide que du bois massif, mais légèrement plus lourd que le noyer.
Caractéristiques
* Calibre : 8 x 57 JS également appelé « 7.92 x 57 mm » ou « 8 mm Mauser »
* Longueur : 110 cm
* Longueur du canon : 59,94 cm
* Poids : 3,92 kg (crosse en noyer) ou 4,2 kg (crosse en lamellé-collé)
* Magasin : magasin interne, rechargement à l'unité ou par clip
* Capacité : 5 coups
* Cadence de tir : approximativement 15 tirs par minute
* Hausse à curseur tangentielle graduée de 100 à 2 000 mètres
* Portée pratique: 500 m (547 yd) (avec la hausse)/800+ m (875 yd) (avec lunette)
Invité- Invité
Re: Le Mauser dans l'histoire
par Invité 27/7/2014, 6:35 pm
Additif
Caractéristiques:
Calibre: [url=http://www.armeetpassion.com/792 JS.html]7,92 mm.[/url]
Munition: [url=http://www.armeetpassion.com/792 JS.html]8 x 57 JS.[/url]
Longueur totale: 1,110 m.
Longueur du canon: 0,600 m.
Poids vide: 3,800 kg.
Capacité: 5 cartouches.
Pays: Allemagne.
Description:
La crosse est d'une seule pièce en bois massif ou lamellé-collé, un garde-main recouvre le canon sur une partie de sa longueur.
La culasse est coudée.
Les organes de visée se composent d'un guidon sous tunnel et d'une hausse tangentielle graduée de 100 à 2 000 m.
L'arme est bronzée au début de la guerre puis phosphatée.
Il y a deux garnitures, une grenadière et un embouchoir, il y à d'origine aussi un élément de baguette de nettoyage (un tiers). La crosse comporte une plaque de couche en acier, une encoche servant à fixer la bretelle et de chaque côté une rondelle percée d'un trou transversal servant pour le démontage du bouchon de culasse.
Le modèle le plus répandu est celui avec une plaque de couche en tôle emboutie coiffant la crosse.
Les modifications:
A la fin de la guerre en vue de réduire les coûts de fabrications et le temps de fabrication, il est procédé a quelques modifications, sans toutefois modifier le fonctionnent de l'arme.
Canon brut de tournage, sans polissage.
Les rondelles de crosse laissent la place à un trou dans le sabot de crosse.
Le pontet, la plaque de fond de magasin, l'élévateur, la grenadière et l'embouchoir sont en tôle emboutie. On distingue deux sortes d'embouchoir, un lisse et un nervuré.
On supprime la double visserie du pontet, les barrettes à ressort, l'embouchoir et la grenadière sont directement vissés.
Absence de tenon de baïonnette et de baguette.
La finition est phosphatée.
Dans de rare cas, suppression de la hausse pour un cran de mire fixe.
Entre 1934 et 1945, il fut fabriqué plus 15 millions de 98k.
Marquages:
Le numéro de série se trouve sur le côté gauche du tonnerre, et sur la culasse, les deux derniers chiffres sur toutes les pièces métalliques.
Sur le tonnerre, on trouve le nom ou le code du fabricant et l'année de fabrication.
Sur le côté gauche du boîtier culasse le modèle de l'arme.
On trouve également le poinçon du Waffenamt sur de nombreuses pièces.
La numérotation des kar 98k s'effectue par bloc allant de 01 à 9999, une fois le bloc terminé, on repartait à 01 en y ajoutant une lettre minuscule a puis b puis c ect.......
Le système repartant à zéro a chaque année civile.
Mauser utilisa des numéros a 5 chiffres à partir de 1943.
Sur la crosse, sur le coté droit, poinçon de contrôle (aigle) et dessous la marque d'attribution, H (Heer), L (Luftwaffe), M (Kriegsmarine). Le marquage étant peu profond, il se trouve effacé au fil du temps.
Ce marquage de crosse disparaît avec l'apparition des fabrications de guerre.
Identification des codes fabricants.
Caractéristiques:
Calibre: [url=http://www.armeetpassion.com/792 JS.html]7,92 mm.[/url]
Munition: [url=http://www.armeetpassion.com/792 JS.html]8 x 57 JS.[/url]
Longueur totale: 1,110 m.
Longueur du canon: 0,600 m.
Poids vide: 3,800 kg.
Capacité: 5 cartouches.
Pays: Allemagne.
Description:
La crosse est d'une seule pièce en bois massif ou lamellé-collé, un garde-main recouvre le canon sur une partie de sa longueur.
La culasse est coudée.
Les organes de visée se composent d'un guidon sous tunnel et d'une hausse tangentielle graduée de 100 à 2 000 m.
L'arme est bronzée au début de la guerre puis phosphatée.
Il y a deux garnitures, une grenadière et un embouchoir, il y à d'origine aussi un élément de baguette de nettoyage (un tiers). La crosse comporte une plaque de couche en acier, une encoche servant à fixer la bretelle et de chaque côté une rondelle percée d'un trou transversal servant pour le démontage du bouchon de culasse.
Le modèle le plus répandu est celui avec une plaque de couche en tôle emboutie coiffant la crosse.
Les modifications:
A la fin de la guerre en vue de réduire les coûts de fabrications et le temps de fabrication, il est procédé a quelques modifications, sans toutefois modifier le fonctionnent de l'arme.
Canon brut de tournage, sans polissage.
Les rondelles de crosse laissent la place à un trou dans le sabot de crosse.
Le pontet, la plaque de fond de magasin, l'élévateur, la grenadière et l'embouchoir sont en tôle emboutie. On distingue deux sortes d'embouchoir, un lisse et un nervuré.
On supprime la double visserie du pontet, les barrettes à ressort, l'embouchoir et la grenadière sont directement vissés.
Absence de tenon de baïonnette et de baguette.
La finition est phosphatée.
Dans de rare cas, suppression de la hausse pour un cran de mire fixe.
Entre 1934 et 1945, il fut fabriqué plus 15 millions de 98k.
Marquages:
Le numéro de série se trouve sur le côté gauche du tonnerre, et sur la culasse, les deux derniers chiffres sur toutes les pièces métalliques.
Sur le tonnerre, on trouve le nom ou le code du fabricant et l'année de fabrication.
Sur le côté gauche du boîtier culasse le modèle de l'arme.
On trouve également le poinçon du Waffenamt sur de nombreuses pièces.
La numérotation des kar 98k s'effectue par bloc allant de 01 à 9999, une fois le bloc terminé, on repartait à 01 en y ajoutant une lettre minuscule a puis b puis c ect.......
Le système repartant à zéro a chaque année civile.
Mauser utilisa des numéros a 5 chiffres à partir de 1943.
Sur la crosse, sur le coté droit, poinçon de contrôle (aigle) et dessous la marque d'attribution, H (Heer), L (Luftwaffe), M (Kriegsmarine). Le marquage étant peu profond, il se trouve effacé au fil du temps.
Ce marquage de crosse disparaît avec l'apparition des fabrications de guerre.
Identification des codes fabricants.
1934 | 1935 | 1936 | 1937 | 1938 | 1939 | 1940 | 1941 | 1942 | 1943 | 1944 | 1945 | |
Mauser-Werke A.G. Oberndorf a/N. | S/42K | S/42G | S/42 | s/42 | S/42 42 | 42 | 42 | byf | byf | byf | byf | byf svw45 svw MB |
J.P. Sauer & Sohn. Suhl. | S/147K | S/147G | S/147 | S/147 | S/147 147 | 147 | 147 | ce | ce | ce | ce | ----- |
Mauser-Werke A.G. Berlin-Borsigwalde. | ----- | S/243G | S/243 | 243 | S/243 243 | 243 | S/243 | ar | ar | ar | ar | ----- |
"Erma" Geipel Gmbh Waffenfabrick, Erfurt. | ----- | S/27G | S/27 | S/27 | S/27 27 | 27 | 27 | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- |
Feinmechanische Werke Gmbh, Erfurt. | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- | ax | ax | ----- | ----- | ----- | ----- |
Berlin-Lubecker Mashinenfabriken, Lubeck. | ----- | ----- | S/237 | S/237 | S/237 237 | 237 | 237 duv | duv | duv | duv | ----- | ----- |
Berlin-Suhler Waffen und Fahrzeugwerke, Berlin. | ----- | ----- | ----- | BSW (*) | BSW | BSW | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- |
Gustloff-Werke. | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- | 337 | 337 | bcd | bcd | bcd | bcd | bcd |
Steyr-Daimler-Puch A.G. Werke Steyr. | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- | 660 bnz | bnz | bnz | bnz | bnz | bnz |
Waffenwerke Brünn A.G. Werk Brünn. | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- | dot | dot | dot | dot | dot swp45 |
Waffenwerke Brünn A.G. Werk Povaska Bystrica. | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- | ----- | dou | dou | dou | dou | dou | dou |
- BSW n'est pas un code mais le sigle de la fabrique.
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Re: Le Mauser dans l'histoire
par bardiana 27/7/2014, 8:09 pm
attention calibre le fusil g 88 et k88 n ont jamais ete fabriqué par mauser,et n ont rien a voir avec le mauser,c est un systeme manlicher ,mais mauser n a jamais fabrique ce fusil a part la culasse qui sz dmonte a peu pres pareil , mais ce n est pas du mauser ,dailleurs le g et le k88 n ont jamais ete fabriqués par mauser !
mauser est passe du 1871 au g98 remplacant du g88 !
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Alidade de visée allemande par pendulation pour le tir de grenades à fusil
par Invité 28/7/2014, 9:41 pm
Alidade de visée allemande par pendulation pour le tir de grenades à fusil
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le Gew.88, traduction google
par Invité 28/7/2014, 10:15 pm
KomissionGewehr modell 1888 - Gew.88 / G.88 commission fusil (Allemagne)
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Version chinoise fait de la Gew.88 - dite hanyang fusil
Version chinoise fait de la Gew.88 - dite hanyang fusil
Gew.88 fusil | Kar.88 carabine | |
| Calibre | 7,92 x57 | 7,92 x57 |
| Longueur hors tout | 1240 mm / 48. 8 " | 950 mm / 37,4 " |
| la longueur du canon | 740 mm / 29.1 " | 435 mm / 17.1 " |
| Poids à vide | 3,8 kg / £ 8,37 | 3,1 kg / 6,83 lbs |
| Capacité du chargeur | 5 tours | 5 tours |
Le modèle 1888 fusil, à l'origine connu sous le nom "Gewehr modell 1888" ou "Komissiongewehr" (de fusil Commission), a été développé par un groupe d'officiers de GewehrPrufungsKomission (GPK, ou de la commission de contrôle de fusil de l'armée allemande), situé dans la ville de Spandau.
Le développement de ce fusil a été stimulée par l'introduction du fusil français Lebel et son petit calibre, la poudre sans fumée munitions.
Après avoir appris cette innovation révolutionnaire en armes légères, GPK a rapidement réagi en développant sa propre version de la munitions de petit alésage chargé de nitro-poudre, la cartouche de x57 7,9, qui, comme il s'est avéré, plus tard, devint l'un des cartouches les plus réussies de l'époque.
Le fusil Gew.88 est souvent appelée à tort "Mauser" ou "Mannlicher", mais en fait il n'en est rien.
Son boulon est une conception plus ou moins indigène par armurier allemand Schlegelmilch, et son système de chargement du magasin est une adaptation de la Mannlicher "en bloc" pince.
Les modifications apportées par GPK au système Mannlicher n'étaient pas suffisantes pour éviter le procès en contrefaçon de brevet.
En conséquence, l'usine Steyr qui détenait les droits des brevets Mannlicher, a obtenu des contrats pour la fabrication de fusils Gew.88, et aussi des versions utilisées des boulons Schlegelmilch plusieurs fusils Steyr-faites, comme M1893 (roumain) et M1895 (néerlandais).
En Allemagne, la durée de vie de la Gew.88 comme un fusil d'infanterie primaire a été relativement courte.
Après seulement 10 années de service, il a été officiellement remplacé par le Gew.98 Mauser-conçu - l'un des meilleurs fusils à verrou de son temps.
Après l'adoption du 7,9 mm S-patrone modifiée en 1902 (avec plus léger et plus rapide "Spitzer" ou balle pointue) un grand nombre de fusils Gew.88 ont été adaptés à cette nouvelle munitions par alésage à l'avant de la chambre.
Ces fusils, parfois appelés "Gew.88S", sont clairement marqués par la lettre «S» apposé sur la partie supérieure du récepteur, en face de l'ouverture d'éjection.
A partir de 1905, un grand nombre de vieux fusils G.88S ont encore été modifiées à la norme G.88/05 de faire usage des nouvelles, émission Mauser clips décapant standard.
Après le début de la 1ère guerre mondiale, certains des Gew.88S fusils restants ont été modifiés à la norme Gew.08/14, qui était généralement semblable à G.88/05 mais plus crûment fait.Probablement la modification la plus rare et moins connue de la ligne Gew.88 était le fusil Gew.88/97, fait des essais qui ont finalement été remporté par Mauser Gew.98.
Le Gew.88/97 sélectionnée récepteur pont divisé modifié avec Mauser de type boulon (avec tête de boulon solide et troisième patte de verrouillage de sécurité à l'arrière) et le magazine de type Mauser, entièrement clos en stock et chargé à l'aide des clips décapant. Seuls 2 000 G.88/97 fusils ont été commandés pour les essais de troupes et encore moins ont été effectivement produits.
Dans l'ensemble, les usines d'Etat allemands et les entreprises privées (telles que Loewe en Allemagne et Steyr en Autriche) ont produit près de 2 millions de fusils et carabines de G88. Parmi eux, plus de 300 milliers ont été retravaillées plus tard dans G.88/05 et plus de 700 milliers - à G.88/14.
Un nombre inconnu, mais apparemment important de fusils G.88 modifiés ont été fabriqués en Chine sur les machines allemand.
Fusils chinois sont généralement connus comme "fusils Hanyang", après la ville de fabrication.
La principale différence entre les fusils chinois et leur prototype allemand était omission de la veste baril sur l'ancien.
Un nombre important d'allemand fabriqués fusils G.88 a également été vendu à la Turquie. À partir 1930, la Turquie a reconstruit beaucoup de ces fusils, en utilisant de nouveaux barils 7,92 mm sans vestes et de nouveaux stocks de bois. La plupart de ces fusils disposent sites marqués en chiffres arabes.
Gewehr modèle 1888, ou G.88 en abrégé, est un fusil à verrou rotatif actionné manuellement.
Son boulon comporte des pattes de verrouillage double à l'avant, et une tête de boulon amovible, qui ne tourne pas avec le corps de boulon quand il est verrouillé ou déverrouillé. Les hôtes de la tête de boulon griffe éjecteur et un extracteur de type piston.
Il faut noter qu'il est possible d'assembler et tirer le canon avec la tête de boulon supprimée, ce qui aboutira à des résultats désastreux. Intégré unique magazine boîte de pile contient cinq tours dans Mannlicher type en bloc de clip.
Contrairement clips Mannlicher originaux, G.88 clip est symétrique et réversible (c'est peut être inséré dans le pistolet ou l'autre côté). Clips vides tombent du fond du magasin à travers la grande ouverture dans sa base. G.88 fusils modifiés, adaptés à 7,9 mm S-patrone par alésage à gorge chambre, sont dûment estampillés avec la lettre "S" sur la bague de boîte avant. Fusils G.88/05 plus modifiés ont les ouvertures de fond dans le magazine fermés par un couvercle en acier estampé, et les supports de cartouches en acier à ressort épinglés à l'intérieur du corps de magasin.
Cette modification inclut également l'usinage d'une découpe dans la paroi de récepteur gauche, ce qui permet à des cartouches de pressage de la pince à dénuder et dans le magasin par le doigt de pouce de la main gauche.
Guides clip Stripper sont usinées dans des plaques d'acier séparées qui sont épinglées sur le pont arrière du récepteur. La guerre G.88/14 modification est essentiellement similaire à G.88/14, mais a ses guides clip décapant à base de matériau, soudé monter sur le pont arrière du récepteur. Levier de sécurité d'emploi a trois positions et est situé à l'arrière de la culasse. Caractéristique typique de la carabine G.88 est l'enveloppe de cylindre tubulaire, qui est vissé sur la face avant du récepteur.
Cette veste est destinée à protéger le canon de manipulation brutale et éléments.Carabines, sur la base du G.88, étaient de conception similaire, mais il y avait de barils et les stocks plus courtes, et présenté boulon de type cuillère recourbée vers le bas gère la place des poignées droites avec des têtes en forme de boule de préhension trouvés sur les fusils de pleine longueur.
Vue arrière était en forme de L de type flip-up. Une fois replié vers l'avant, il a exposé seule lame fixe avec entaille en V, destinée à courte portée de tir (250 mètres zéro).
Lorsqu'il est relevé, il offre lame entaille en V coulissant avec des ajustements de portée entre 500 et 2000 mètres par incréments de 50 mètres (G.88 origine avant modifications S-Patrone avaient mire marquée entre 450 et 2050 mètres).
Fusils G.88 origine également en vedette plus de type feuille pliage de mire, remis à zéro pour la gamme de 350 mètres, qui était accessible avec vue principale plié.
Cette fonctionnalité a été larguée sur la G.88/05 et modifications ultérieures. sites de Carbine étaient de conception similaire, mais avec des délais plus courts sensibilisation et échelle, réglable entre 500 et 1200 mètres par incréments de 100 mètres. «Accessoires» standard pour G.88 inclus fusil fronde, tige (stockée sous le canon) et un couteau-baïonnette amovible nettoyage.
Dernière édition par 8X60R le 28/7/2014, 10:59 pm, édité 1 fois
Invité- Invité
Fusil Mauser M1889 (Belgique) / M1890 (Turquie) / M1891 (Argentine) traduction google
par Invité 28/7/2014, 10:17 pm
Fusil Mauser M1889 (Belgique) / M1890 (Turquie) / M1891 (Argentine)
| Calibre | 7,65 x53 |
| Longueur hors tout | 1270 mm / 50 " |
| la longueur du canon | 780 mm / 30,7 " |
| Poids à vide | 3,68 kg / £ 8,1 |
| Capacité du chargeur | 5 tours |
Le Mauser modèle 1889 fusil, également connu sous le nom belge Mauser, a été le premier fusil de la célèbre usine allemande bras de décision Mauser Werke à feu de petit calibre, la poudre sans fumée munitions.
Elle a été rejetée par les autorités allemandes, mais a été adoptée par la Belgique en 1889, la Turquie en 1890 et l'Argentine en 1891. Belge émission fusils ont été fabriqués en Belgique par usine privée Fabrique Nationale (FN, bref, qui a été fondée en particulier pour la fabrication de ces fusils) et par l'Etat usines d'armement ( Fabrication d'Armes De L Etat ou MAE en bref).
Pendant le WW1, fusils Mauser M1889 belges ont été produites pour le gouvernement belge en exil par Hopkins & Allen aux Etats-Unis et à Birmingham (Royaume-Uni) par une usine ouverte la plupart du temps par l'exil de la main-d'œuvre belge FN.
Mauser turcs et argentins de ce modèle ont été fabriqués en Allemagne.
Fusils turcs ont été faites par Mauser comme une continuation de contrats antérieurs, et des fusils argentins ont d'abord été faites par Ludwig Loewe et plus tard par DWM.
Fusils de modèle argentins ont également été adoptées par plusieurs autres pays d'Amérique du Sud, comme la Colombie, l'Equateur ou le Pérou.
Au cours des années 1930, au moins certains des belges M1889 Mauser ont été converties en modèle 1889-1836 fusils courts, qui ont été destinés à l'utilisation de la Garde civile.
Mauser modèle 1889 fusil est un fusil à verrou rotatif actionné manuellement.
Son boulon comporte des pattes de verrouillage double à l'avant, avec extracteur à griffes inletted en tête du boulon et du type de lame éjecteur fixe fixé dans le récepteur. magazine Box détient cinq cartouches en pile unique, et a nourrir les lèvres en acier à ressort.
Magazine peut être chargé par l'ouverture en haut de récepteur, en utilisant tours simples ou 5 rondes clips décapant. Ensemble de magazine est séparé du pontet, et peut être facilement retiré de fusil pour l'entretien ou le remplacement.
Magazine capture est situé à l'intérieur du pontet. Comme d'autres fusils contemporains, belge Mauser est équipé avec la veste de cylindre tubulaire.
Mauser argentins et turcs de ce type n'avaient pas veste baril, et sélectionnée protège-mains en bois.
Stock est de type classique en bois. Baïonnette est prévu près de la bouche. Il y avait plusieurs modèles de carabines, basés sur la même conception de base mais faites avec des barils courtes et vestes de baril.
Carabines belges eu vestes baril tubulaires, tandis que les carabines argentins n'avaient pas de gilets et des stocks-métrages qui couvraient toute baril jusqu'à la bouche. Modèle 1889-1836 fusils courts belges modifiés ont également été faites sans gilets de baril.
Dernière édition par 8X60R le 28/7/2014, 11:01 pm, édité 1 fois
Invité- Invité
Mauser modèle 98 (Allemagne) toujours traduction google d'un site en DE et RU
par Invité 29/7/2014, 2:30 pm
Mauser modèle 98 (Allemagne)
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Mauser Gew. 98 - modèle de 1898 fusil Mauser.
Mauser Gew. 98 - modèle de 1898 fusil Mauser.
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Mauser K98k - Mauser modèle 98 "Karbiner Kurz" (carabine courte); celui-ci a été faite en 1944.
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Mauser K98k - même spécimen 1944-faites, vue du côté droit.
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Vue d'en haut sur l'action K98k. sont clairement visibles interrupteur de sécurité, hotte et clip décapant guides
(7 "62" marques sur l'anneau du récepteur signifie que ce spécimen particulier a été rebarreled à l'OTAN / .308 Win cartouche de 7,62 mm).
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Vue sur l'action K98k partiellement ouverte, prêt à nourrir un autre tour.
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Fameux modèle 98 boulon. Haut - montrant la "capacité d'alimentation contrôlée", en bas - l'unité de boulon seul .
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Modèle 98 unité de percuteur avec pièce d'armement et interrupteur de sécurité.
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Modèle 98 trois positions de sécurité, de gauche à droite: "sûr et boulon verrouillé»; «Sûr et le boulon de déverrouillage"; «Feu».
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7.92x57mm (également connu sous le nom 7.9mm ou 8mm Mauser) munitions sur clip décapant.
données pour Mauser K98k carabine (données pour Gew.98 dans parenthesizes)
Calibre : 7.92x57 mm Mauser allemand en service; beaucoup d'autres chambrages dans les modèles d'exportation d'action: à commande manuelle, en tournant le boulon
Longueur totale : 1101 mm (1250 mm)
de longueur du canon : 600 mm (740 mm)
Poids : 3,92 kg (4,09 kg)
de capacité Magazine : 5 tours dans le magazine intégrante de la boîte
La société Mauser, créée par les deux frères Mauser, a établi sa réputation dans les armes à feu de décision dans les dernières décennies du XIX e siècle, et a continué à construire un départ très bien pensé et armes à feu habilement construits jusqu'à la fin de la guerre mondiale 2.
Certains ans après la 2ème guerre mondiale, la société Mauser a été restauré dans l'Allemagne de l'Ouest et a continué à construire des armes à feu, mais surtout un grand calibre ceux, comme les canons d'avions etc
Mais certains Mauser tôt œuvres sont devenus les normes par rapport auxquelles tous les autres modèles sont jugés , même après quelque 100 ans après son introduction. Un de ces dessins, est un fusil Mauser undoubtfully modèle 1898, également connu sous le Gew. 98 ou tout simplement G98 (G = Gewehr, fusil en allemand).
Ce fusil a été conçu à partir de l'expérience, acquise sur précédentes conceptions Mauser, et a apparu la première fois en 1898 comme un fusil d'infanterie de l'armée allemande standard.
Elle a été réalisée par les Allemands par la Première Guerre mondiale, avec carabine raccourcie version connue sous le nom K98 (ou Kar-98, de Karbiner = carabine). En 1904 les Allemands ont été les premiers à introduire la nouvelle balle "de Spitzer" (avec bout pointu, à la place de la mousse plus, la pointe de forme ronde). Nouvelle balle avait beaucoup mieux balistiques à longue portée, afin que tous les sites ont été regraduated pour de nouvelles munitions.
Au cours de la période entre les deux guerres cette conception fine a été légèrement modifiée à devenu le K98k - Karbiner Kurz, ou carabine courte - une version un peu plus courte, plus léger et maniable de l'original.
Cette version est apparue en 1935 et a été fabriqué jusqu'en 1945 en grand nombre non seulement par les Allemands, mais aussi dans de nombreux pays, occupée par les Allemands. De nombreuses versions de cette conception ont également été autorisés à d'autres pays, qui ont également utilisés pour construire leurs propres versions du G98. Le plus célèbre de ces «étrangers» sont Mauser Mauser persans, turcs, tchèques Mauser VZ-24 Mauser, Mauser yougoslaves et quelques autres. La liste de la grande variété des versions de type Mauser pourrait facilement couvrir un certain nombre de pages, mais, pour des raisons de compacité, je vais décrire que le modèle allemand de base.
Le modèle 98 est un fusil à commande manuelle, le magazine nourris, carabine.
Le magazine et l'action de boulon sont les deux caractéristiques les plus célèbres du modèle 98. Magazine est une boîte intégrale à deux rangs, avec plaque de sol amovible rapidement.
Magazine peut être complété soit avec des tours simples, en poussant tours dans le top ouverture de réception, ou par l'intermédiaire des clips décapant.
Chaque clip peut contenir 5 tours, assez pour remplir le magazine, et est inséré dans les guides clip, usinées dans le pont arrière du récepteur.
Après le chargement, vide clip est automatiquement éjecté lorsque le boulon est fermé.Magazine pourrait être déchargé en actionnant la vis (sécurité doit être en position médiane!) Ou en retirant la plaque de sol magazine (non recommandé).
Boulon Mauser est une conception simple, extrêmement solide et bien pensé. Le boulon a trois pattes de verrouillage, deux à la tête du boulon et l'autre à la partie arrière de la culasse. Le levier d'armement est fixé rigidement sur le corps de boulon. Sur les originaux Gew 98 fusils, il était droit et situé horizontalement lorsque le boulon était en position fermée. Sur le K98k le levier de culasse a été plié vers le bas, ce qui a permis à des opérations comptables et de boulons plus confortables.
Bolt a un évent de gaz trous qui sont conçus pour déplacer les gaz chauds loin des tireurs face et dans l'ouverture du magasin, dans le cas de l'affaire de la cartouche ou de rupture primaire.
Suivant célèbre caractéristique du modèle 98 boulon est un "feed contrôlée" extracteur. Massive, non tournante extracteur à griffes a été conçu pour engager le rebord de la cartouche dès que la cartouche a quitté le magazine, et a tenu le cas de la cartouche fermement jusqu'à ce qu'il a été éjecté par l'éjecteur, fixée à l'intérieur du récepteur.
Combinée à une légère rétraction de la vis lors de la dernière étape du tour-boulon ouvert rotation, causée par la surface de came sur le pont arrière du récepteur, ce qui a entraîné l'extraction primaire très positif. Modèle 98 est une arme de l'attaquant-feu.
Striker est armé lorsque le boulon est tourné pour ouvrir, permettant lisse boulon traction avant. La partie arrière de l'attaquant fait saillie à l'intérieur du boulon, de sorte que l'état de l'action (armé ou non) peut être vérifiée visuellement ou même manuellement.
Le groupe de boulon peut être facilement retiré du récepteur simplement en tirant sur la butée de boulon, situé à gauche de la paroi du récepteur, puis en faisant tourner et en tirant sur le pêne.
L'interrupteur de sécurité est situé à l'arrière de la culasse et a trois positions: la position de gauche (vue de derrière la carabine), il verrouille la gâchette et verrouille le boulon en place également, de sorte qu'il ne pouvait pas être tourné et ouvert. dans la position du milieu (relief) il verrouille toujours la gâchette, mais boulon est débloqué et peut être utilisé pour charger et décharger le fusil; et dans la bonne position, le fusil est prêt à tirer.
Sécurité pourrait facilement être exploité par le doigt de pouce droit.
Modèle 98 fusil vedette un stock de bois d'une seule pièce avec poignée semi-pistolet. Gew 98 et Kar 98K distinguent non seulement par la longueur du canon et la partie avant du stock - ils ont aussi des supports de fronde.
Alors que Gew 98 a deux pivots de fronde, le K98k a un seul, pivotant vers l'avant. Au lieu de la rotule arrière il ya une coupe en travers de la crosse, à travers laquelle la sangle est passé.
Ces fusils ont également différentes mire: Gew 98 avoir une courbe, tangente de vue, tandis que K98k a plus moderne, la vue arrière de type feuille. Les guidons sont de type grain d'orge ouvert, sur certaines carabines avec amovibles hottes de vue avant semi-circulaires.
Dernière édition par 8X60R le 29/7/2014, 8:53 pm, édité 1 fois
Invité- Invité
Gewehr 43 / Gew.43 / Kar.43 / K43 fusil semi-automatique (Allemagne)
par Invité 29/7/2014, 2:36 pm
Gewehr 43 / Gew.43 / Kar.43 / K43 fusil semi-automatique (Allemagne)
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Gewehr 41 (W) / G41 (W) - le prédécesseur direct pour le G43 / K43. Remarque grande tasse de bouche qui couvre le système de gaz de type Bang échoué.
Gewehr 41 (W) / G41 (W) - le prédécesseur direct pour le G43 / K43. Remarque grande tasse de bouche qui couvre le système de gaz de type Bang échoué.
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K43 fusil de sniper avec lunette de tir.
K43 fusil de sniper avec lunette de tir.
Calibre : 7.92x57 mm
Longueur totale : 1015 mm
Longueur du canon : 558 mm
Poids : 4,33 kg
Capacité du chargeur : 10 coups
Avant le début de la 2ème guerre mondiale, l'armée allemande avait peu d'intérêt pour les fusils d'auto-flâner.
Leur doctrine tactique centrée autour de peloton d'infanterie avec MG.34 universel mitrailleuse comme principale source de puissance de feu, soutenu par les fusiliers avec Kar.98K fusils à verrou. En 1941, deux entreprises ont présenté les fusils à chargement automatique pour l'examen de l'armée allemande - Walther et Mauser. Ces fusils étaient désigne comme Gewehr 41 (W) et Gewehr 41 (M), respectivement, ou G41 (W) et G41 (M), en somme.
Les deux fusils étaient quelque peu similaires en ce sens qu'ils étaient auto-chargeurs fonctionnant au gaz, à la fois en utilisant les pistons Bang annuel de type gaz, situé à la bouche du canon, au sein de la relativement grande capitalisation initiale.
Les deux ont été nourris de 10 rondes fixes magazines.
Les deux fusils ont été testés au combat et les deux artistes comme pauvres prouvées.
Le système de gaz de bouche Bang type a été parmi les principales sources de problèmes, donc, par la fin des années 1943 ingénieurs Walther accouplé le G41 (W) l'action avec le système de la Russie beaucoup plus efficace et fiable de gaz Tokarev SVT-40 fusil .
La conception résultant a été désigné comme Gewehr 43, ou Gew.43, ou G43 en somme.
En 1944, le Gew.43 a été redésigné comme Kar.43 (Mousqueton 43, K43), sans changements visibles faites, et sous cette désignation, il a été fabriqué jusqu'à la fin de la guerre. Kar.43, faite en assez grand nombre, a été publié la plupart du temps comme une arme de spécialiste, souvent équipé d'optique de télescope de vue.
Comme beaucoup d'autres armes, faites pendant les dernières étapes de la guerre, la Kar.43 a montré peu d'attention à la finition dans tous les domaines, où la finition était insignifiant pour les besoins fonctionnels.
Il y avait plusieurs développements expérimentaux sur la base de Kar.43, y compris les versions de tir sélectif, ainsi que des versions chambré pour 7.92x33 Kurtz munitions et adaptées pour les magazines Stg.44. Aucune des deux versions est entré en production.
Au cours de la période de l'après-guerre, l'armée tchécoslovaque a utilisé des fusils Kar.43 comme armes de sniper.
Le Gew.43 / Kar.43 est un gaz utilisé, arme semi-automatique. Le piston à gaz course courte est situé au-dessus du baril. Le boulon est verrouillé par deux rabats qui s'étendent dans les évidements de verrouillage dans les parois du récepteur.
Lors du déverrouillage, ces volets sont rentrés dans le corps de boulon.
Les groupes de réception et boulons sont usinées à partir de moulages d'acier, avec de nombreuses surfaces étant mécaniquement inachevé. Beaucoup de pièces embouties sont également utilisés dans la construction.
Le fusil est alimenté à partir de magazines boîte amovible, qui a tenu 10 rounds. Chaque fusil G.43/K.43 avait la queue d'aronde, qui peut accepter monter la lunette de visée, en plus des sites ouverts réglables standard.
Dernière édition par 8X60R le 29/7/2014, 8:53 pm, édité 1 fois
Invité- Invité
herve77- Pilier du forum
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pour ne pas oublier ndess43/ le SVT38/40
par Invité 29/7/2014, 2:40 pm
Tokarev SVT-38 SVT-40 (URSS - Russie)
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SVT-38, vue en gros plan sur le récepteur .
SVT-38, vue en gros plan sur le récepteur .
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SVT-40, vue en gros plan sur le récepteur.
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SVT-40, version sniper avec une portée de voir à travers montage et la période WW2 question de la norme portée "PU".
SVT-40, version sniper avec une portée de voir à travers montage et la période WW2 question de la norme portée "PU".
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SVT-40, le dessin de la pièce jointe à la bouche avec la chambre à gaz et le régulateur, l'assemblage de guidon et frein de bouche.
SVT-40, le dessin de la pièce jointe à la bouche avec la chambre à gaz et le régulateur, l'assemblage de guidon et frein de bouche.
données pour SVT-40
Calibre : 7.62x54 mm R
Action: gaz utilisé, en inclinant le boulon
Longueur totale : 1226 mm
Longueur du canon : 625 mm
Poids : 3,85 kg
Alimentation : 10 tours dans le magazine boîte amovible
Le SVT-38 (Samozaryadnaya Vintovka Tokareva - Tokarev Fusil semi-automatique) a été adopté en 1938 après plus de 20 années de recherche et de développement, fait par le célèbre designer d'armes russe Fedor Tokarev.
Ce n'était pas une première carabine semi-automatique soviétique - il y avait la sélection-le-feu »Avtomat» de 1916 par Fedorov et également sélectionner-le-feu AVS-36 de 1936 par Simonov. «Avtomat» a été chambré pour 6.5mm japonais Arisaka ronde et a été déclarée obsolète, et les AVS-36 a montré quelques défauts de conception, si nouveau fusil a été adopté. Après les premiers essais, il a été mis à jour et ré-adopté en 1940 en tant que SVT-40.
Ce fusil a été faite dans un nombre relativement important (plus de 1 million ont fait avant 1945), et a été publiée en tant que fusil standard de l'infanterie, de remplacer les obsolètes Mosin-Nagant M1891/30 fusils à verrou. Peu SVT-40 ont également été fabriqués dans la variante de sniper, équipé de montures de lunettes et lunettes de visée, mais la précision n'est pas suffisante, de sorte qu'environ 50 000 sniper SVT-40 ont été fabriqués, et ceux-ci ont été complétées par les fusils de sniper Mosin-Nagant.
Le SVT-40 avait une réputation quelque peu controversée. Il a été très apprécié par les ennemis (les Finlandais et les Allemands) et c'était une très recherché après trophée de guerre, réédité aux troupes allemands et finlandais.
D'autre part, il a été souvent considéré comme peu fiable et trop compliquée par les troupes soviétiques (lorsque l'on compare avec les vieux fusils Mosin-Nagant), mais il était plus à la mauvaise formation et la maintenance, que pour le fusil lui-même.
Certaines troupes soviétiques mieux formés et éduqués, comme la mer d'infanterie (Marines, qui ont toujours été une sorte de l'élite dans l'armée soviétique) ont utilisé la SVT-40 avec beaucoup de succès.
Après la fin de la guerre mondiale 2, la plupart SVT-40 ont été rapidement retiré du service et mise en stocks de réserve.
Certains fusils ont été plus tard vendu sur le marché intérieur civil pour les chasseurs comme un surplus militaire. Autres que les versions de base, il a également été développé une carabine courte SKT-40, et une sélection-le-feu AVT-40, mais les deux vu très peu de service.
Dans l'ensemble, la SVT-40 était en général pas pire que l'Amérique du M1 Garand (et avoir des avantages sur elle, en particulier dans les procédures de rechargement), et évidemment mieux que les anciens allemand Gew.41 fusils semi-automatiques.
C'était la question de la formation et de l'éducation, et la qualité du service de dans les troupes soviétiques, qui conduisent à la faible popularité (en général) de cette fondamentalement bon fusil.
SVT-40 est un gaz utilisé, le magazine nourris d'auto-chargement de fusil. Il utilise une courte durée d'action de gaz de la course du piston, situé au-dessus du canon.La caractéristique intéressante de la SVT est que le bloc de gaz, avec la base de la vue avant et un frein de bouche, ont été produites en tant qu'unité d'extension de canon unique.
Cette grandement simplifié la fabrication du canon, mais l'unité d'extension de canon lui-même était assez compliqué à faire. Chambre à gaz dispose de 5 positions de régulation de gaz pour ajuster le système pour toutes les conditions.
Le piston à gaz a sa propre chaîne de retour et est retourné à environ 36 mm (1,5 pouces) quand le pistolet a été tiré. Il a donné un coup rapide et puissant pour la glissière, qui portait le boulon en dessous.
Verrouillage du canon a été réalisée par la partie arrière de la culasse, qui inclinée vers le bas pour verrouiller dans l'insert en acier renforcé dans le plancher du récepteur.
Poignée de charge a été fixée de manière permanente sur le côté droit de la glissière de culasse mobile. Chargeur amovible a été fabriqué à partir de tôle d'acier et maintenez 10 cartouches. SVT pourrait être rechargé soit en remplaçant le magazine ou en utilisant 5 rondes décapant clips du Mosin-Nagant. Guides clip Stripper ont été usinées dans le couvercle supérieur du récepteur. système de Bolt incorporé une prise de verrou, qui a tenu le groupe de culasse en arrière quand le magazine était vide, afin de faciliter un rechargement plus rapide, en particulier lors de l'utilisation des clips décapant.
Les deux SVT-38 et SVT-40 étaient marteau-feu, avec interrupteur de sécurité situé derrière la détente.
Lorsqu'il est engagé, la sécurité verrouillé sur la gâchette.Dans les rares AVT-40 fusils sélectionnez-le-feu, la sécurité a un réglage supplémentaire pour le mode plein feu-automatique.
Le SVT-38 présenté un stock de bois en deux parties avec garde-main supérieure séparée avec insert en acier petite à l'extrémité avant. SVT-40 avait une crosse en bois d'une seule pièce avec têtière plus courts et garde-main supérieure séparée.
La partie avant du stock a été remplacé par le couvercle en tôle d'acier avec orifices de refroidissement. Tige de nettoyage, à l'origine stocké dans la rainure sur le côté droit de l'action à la SVT-38, a été déplacé sous le canon sur la SVT-40.
Sites de la SVT composés du type de poste guidon, montés sur la base vue à la circulaire garde à vue avant, et un type de tangente mire ouvertes, montés sur la partie arrière du canon. versions de Sniper ont été équipés amovibles, voir à travers les montures de lunettes spéciales à l'arrière du récepteur, de sorte que le champ d'application a été compensé à l'arrière, ce qui permet d'utiliser une installation de clip-charge.
SVT-38 a été équipé amovible, couteau-baïonnette. SVT-40 a été publié avec baïonnette similaire, mais avec une lame raccourci pour gagner du poids. Contrairement à la Mosin-Nagant, les baïonnettes ont été régulièrement effectuées dans des gaines, et attachés à la carabine que lorsque c'est nécessaire.
Dernière édition par 8X60R le 29/7/2014, 8:54 pm, édité 1 fois
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Re: Le Mauser dans l'histoire
par Admin 29/7/2014, 8:42 pm
Information instructive. Cependant, quand ce n'est pas vous qui avez écrit l'article - il n'y a rien de mal à ça - vous devez IMPERATIVEMENT CITER VOS SOURCES. Au-delà des droits d'auteur, ce n'est que simple courtoisie envers le gars qui l'a écrit (lui).... Merci d'avance, mais je ne vais pas continuer à le répéter...
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Re: Le Mauser dans l'histoire
par Invité 29/7/2014, 8:58 pm
voila lien ajoutéAdmin a écrit:Information instructive. Cependant, quand ce n'est pas vous qui avez écrit l'article - il n'y a rien de mal à ça - vous devez IMPERATIVEMENT CITER VOS SOURCES. Au-delà des droits d'auteur, ce n'est que simple courtoisie envers le gars qui l'a écrit (lui).... Merci d'avance, mais je ne vais pas continuer à le répéter...
il suffit dans les textes de cliquer sur les surlignages en brillance bleue et tu yest sur le fameu site, donc source non cachée
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de plus situé en Russie le site, traducteur en ligne obligatoire
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Re: Le Mauser dans l'histoire
par Invité 30/7/2014, 6:32 pm
P'tit nettoyage et déplacement d'un sujet d' Hervé. 
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