Solidarité entre tireurs

signé aussi

CALIBRE2B a écrit:Tout à fait ...nico !!!!

Moi j'en connais au moins une d'exception. Enfin un ....JC mon grand frère   

Merci, Frérot !

De rien . Mais bon, faut te calmer. Tu vas finir à poil ou avec le meme voile que ton avatar      

ndes43 a écrit:............... quels soient les difficultés de la majorité.

Je me marre (jaune) quand j'entends parler des difficultés de la majorité. Faudrait un peu voyager et voir ce qui se passe ailleurs et pas seulement dans les pays pauvres (la médecine des pauvres en Angleterre par exemple). Il y a eu 30 ans de prospérité exceptionnelle due à des circonstances exceptionnelles (dont un faible nombre de retraités). Nous vivons dans un des pays les plus riches avec un haut niveau de vie - ce niveau de vie inclus une médecine quasi gratuite ce à quoi on ne pense jamais. Il n'est pas écrit dans le marbre que le niveau de vie normal tenable soit celui du français moyen actuel bien au contraire. Quand j'ai commencé  à tirer avec mon dabe vers l'age de 12  ans on comptait les cartouches de .22 et on limitait car mon père considérait que ça coûtait cher. Mais à part ça  avec deux voitures par couple on vit de plus en plus mal.

L'herbe est toujours plus verte ailleurs. Le problème en France c'est le système d'arrosage et de tonte qui laisse à désirer   

Tout à fait d'accord, c'est ce que je répète tout le temps, nous avons profité d'une prospérité exceptionnelle, nous vivons depuis longtemps au-dessus de nos moyens, et la seule issue est une dégradation importante de notre niveau de vie, mais ça, personne ne veut le voir, encore moins l'accepter. Au début des 30 glorieuses, une famille de classe moyenne (1 seul salaire + femme au foyer) pouvait se permettre de passer 15 jours à l'hôtel en vacances dans le pays.
Jusque dans les années 80, je me souviens qu'il y avait une convivialité qui n'existe plus aujourd'hui, les gens ne sont plus tournés vers les autres, et comme disait Churchill, "les fascistes d'aujourd'hui seront les anti-fascistes de demain"... Belle prémonition.

Messieurs pouvons nous revenir au sujet principal "solidarité entre tireurs". Ont dévient encore sur la politique. Je supporte de plus en plus mal et je suis sérieux.    Parlons donc de nos chères et adorées arme c'est bien plus saint.    Deux d'entre nous sont partis en claquant la porte !!! Ce forum est petit si d'autres suivent ça n'ira pas en s'arrangeant. Merci de votre compréhension.

Bien revenons à nos moutons

- Cette pétition est très tardive, peu de dire, alors que tout était acté pourquoi?

 La fermeture n'est pas tombée sur les membres du TNV par surprise le 30 juin La solidarité a-t-elle jouée quant on pouvait peut-être encore faire qq chose, dès les prémisses? 
Je connaissais un délicieux club de tennis aux locaux datant d'avant-guerre et aux courts en véritable terre battue brique  qui a fermé pour les même raisons financières de valorisation du terrain. Pourtant personne n'est contre le tennis.

Porte d’Orléans ? Je n'en connais pas d'autre mais si c'est celui-ci tout devient grave. A moins qu'il y ait confusion entre balles de tennis et "projectiles"  

Vers l'avenue de Saint-Mandé dans le beau XII eme.

On ne revient pas sur la chose jugée, d'autant plus que le propriétaire à suivi la procédure. Il aurait fallu que la fédé tente immédiatement un recours fondé sur le "droit d'usage" (utilisation exclusive de l'emplacement pendant plusieurs années), et "l'utilité publique" des lieux. Mais vu l'existence d'une convention définissant les conditions d'attribution des parcelles, très peu de chances que ça aboutisse. De plus, mes propos sont sujets à caution, mes cours de droits sont loin.

Si ce n'était que des stands de tir ou autres cours de tennis ......  

J'ai meme vu un gge de mécanique etre rasé pour en faire un jardin, ou aujourd'hui personne ne va   

On tombe dans le domaine du gaspillage de l'argent public. Le sujet est éminemment politique, mais vu qu'il concerne tous les camps...

Harry Mature a écrit:Vers l'avenue de Saint-Mandé dans le beau XII eme.

C'est vrai j'avais oublié cet endroit.    Tout change. (Trop vite).  

c'est fait...