RESTAURATION OU RENOVATION DU BOIS
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RESTAURATION OU RENOVATION DU BOIS
Restaurer signifie conserver. Cela peut donc se limiter à un coup de chiffon, un traitement xylophage, un coup d’huile ou de cire. Dans tous les cas, on laisse à l’objet toutes les traces, la couleur, la patine que lui a laissée le temps, et on se contente de préserver l’objet, pour qu’il ne se dégrade pas.
Rénover signifie remettre à neuf, remettre dans l’état original, ou tout du moins le plus originel possible, l’objet que l’on traite. On élimine alors la patine, les traces du temps etc…on se renseigne bien pour savoir quelle était la couleur, la finition de l’objet à son origine, et on fait tout pour la restituer.
2/ Le décapage :
Le décapage consiste à retirer toute trace de patine ancienne. Dans patine, comprenez le vernis, l’huile, la cire, mais aussi la « crasse » accumulée.
Pour cela, et en fonction des matières à enlever, on utilise différents décapants. Certains du marché sont dits universels. Cela signifie qu’ils sont censés tout décaper. Prenez un marque connue, qui a fait ses preuves, et vous ne serez pas déçu.
Ceci étant, lorsque l’on connaît la nature du produit à enlever, on peut se contenter de produits de « base », qui sont moins chers, parfois plus efficaces. Par exemple, l’acétone ou l’alcool à 95° pour les vernis gomme laque, l’essence de térébenthine pour les cires etc…
Versez le produit, laissez agir. Prenez de la laine d’acier, puis dans le sens sur fil du bois, frottez. Plus le revêtement est riche et épais, plus vous encrasserez votre laine d’acier. Vous pouvez alors prendre des laines d’acier grosses, qui s’encrasseront moins vite, et finir à la triple zéro.
La laine d’acier ne ponce pas. Elle n’use pas le bois, elle respecte le matériau traité.
Il est très important de savoir que les crosses militaires sont rarement poncées et finies parfaitement. Elles sortent de machines à copier, et sont presque sans retouche à la sortie de cette dernière. Aussi, sur les crosses militaires d’origine, on peut voir des coups de fraise de machine, qui montrent bien qu’il n’y a pas eu de restauration poussée, et qui sont en plus un témoin de fabrication intéressant. Attention de ne pas les enlever, ce serait irrémédiable et trop dommage. Il en est autrement de la plupart des crosses civiles, dont la finition est appliquée et poncée.
Respecter sa crosse, c’est la décaper, et ne pas la poncer !!
3/ Les coups.
Certains coups, outrages du temps, marquent trop la crosse, et parfois, pour certaines personnes, cela les défigure. Il est donc parfois indispensable de les supprimer.
Une fois votre crosse décapée, mouillez partiellement la partie enfoncée. Posez un linge plié en 4/5/6 épaisseurs, mouillé lui aussi. Prenez un fer à repasser le plus chaud possible, et appliquez le sur le linge. L’eau contenue dans le bois va se transformer instantanément en vapeur, et va donc remonter, emportant avec elle les fibres écrasées. Recommencez autant de fois que nécessaire. Il est impossible de faire ce traitement avec une crosse finie (huilée, vernie etc…), il faut qu’elle soit décapée !
Certaines éraflures ne pourront pas être sauvées par ce traitement. Car la matière a disparue, elle a été arrachée. Il faut donc aplanir autrement que par la patte mouille, on utilise un moyen mécanique : ponçage, rabotage, raclage.
Ne poncez jamais sans cale !! Un beau travail a des formes pures, des courbes non « cassées ». Prenez des cales dures, par certaines vendues dans le commerce toutes molles….une petite planche de contre plaqué fera l’affaire. Passez par un gros grain en premier lieu (80). Certains poncent directement au grain 180…c’est idiot, car on ne peut pas espérer aplanir les formes de cette manière. Puis 120, et enfin 180, voire 240. Inutile d’aller au-delà, c’est même mauvais, sauf cas exceptionnels comme une ronce de noyer par exemple.
Pour retirer certaines idées reçues, poncer trop fin n’est en effet pas bon. La finition accrochera mois bien. Les papiers fins sont faits pour « finir la finition ». C'est-à-dire poncer jusqu’au polissage, ce qui n’est pas notre affaire dans notre domaine.
Prenez un papier d’excellente qualité, pas de « papier silex » pour le plâtre. La toile émeri est parfaite pour ce genre de travaux.
4/ La teinte
Certains bois, pour être mis en valeur, ou pour correspondre plus aux goûts de chacun, ont besoin d’être teintés. Il existe des teintes à l’eau (les plus durables, les plus belles), les teintes à l’alcool (utilisées pour faire des retouches), et les teintes chimiques (très faciles d’utilisation, mais à proscrire le plus possible !!!). Les teinte chimiques marquent les défauts du bois, elle ne pénètrent que les fibres d’été (les fibres molles), et de ce fait, « zèbrent » les boiseries, le plus flagrant est sur le hêtre.
La teinte à l’eau est un domaine très vaste. Elle « lisse » les défauts du bois. C’est la plus durable dans le temps, à condition de rajouter un peu d’ammoniaque, c’est aussi la seule qui donne de la « profondeur » à la couleur. La plus connue est le brou de noix. Mais attention, cette teinte ne doit pas être utilisée seule, c’est une « base ». Sans ça, vous obtiendrez un « marronnasse » assez vilain. Il faut lui ajouter de la couleur.
Apprenez à lire les couleurs dans le bois. Vous y trouverez du vert, du jaune, du rouge, du marron, du orange….il faut avoir l’oeil !!
Tout est sujet à être une base de teinte à l’eau !! Tout ce qui « tâche » est une teinte, à partir du moment ou la couleur de la « tâche » est voulue, et que dans notre cas, elle se dilue à l’eau. Des champignons secs, des oxydes de fer, d’aluminium ou de cuivre, de la terre naturelle ou cuite, des aliments, de l’encre, des acides etc etc…..
Dans le commerce, vous trouverez toutes sortes de poudres (à utiliser en petites quantités), de différentes couleurs, et qui vous aideront dans votre choix. Toutefois, il existe des bases de teinte que l’on possède souvent chez soi, tout simplement, qui peuvent largement subvenir à vos besoins, je pense à la chicorée, par exemple….
Enfin, parfois, on cherche à décolorer le bois. Pour le rendre plus clair, ou alors pour donner au bois une base qui accueillera mieux la teinte. Utilisez de l’eau oxygénée + de l’ammoniaque pour la majorité des bois. De la javel pour la famille des résineux. Sinon, des produits décolorants sont vendus dans le commerce, parfois moins efficaces que ceux sités au dessus.
Décolorer ne signifie pas détacher. Si vous avez des tâches, il faut les éliminer avec les mêmes produits que l’on utilise sur les textiles, par exemple. La javel…les détachants du commerce, ou l’acide oxalique pour la rouille, par exemple. A chaque tâche son acide, cherchez sur Internet, je ne vous dévoilerais pas tout ici, la liste serait trop longue, mais tout est trouvable !!
4/ La finition :
Enfin, la finition…vous l’aurez compris, tout est possible à partir du moment où ça marche.
Le vernis :
-le vernis le plus traditionnel est le gomme laque. On l’applique à la mèche, au tampon, au pinceau, au spalter. Il se dilue à l’alcool à 95°. C’est un vernis « gras », qui supporte d’être employé sur des anciennes base pas parfaitement dégraissées. On peut mettre autant de couches que l’on désire, à partir du moment ou les couches sont minces. C’est le vernis qui est le plus durable, qui donne la plus belle profondeur à la couleur, c’est le seul qui ne soit pas toxique du tout.
-les vernis modernes. En ce qui nous concerne, je vous déconseillerais le cellulosique, qui craint l’eau. Vous avez donc les vernis à base glycérophtalique, qui ont à peu près les mêmes performances que le gomme laque, mais qui sont trop épais pour être raffinés.
Vous avez le vernis polyuréthane, qui est le plus costaud, mais qui ne supportera aucun coup ni aucune rayure. Ce vernis sera beau et très facile d’application, mais il ne se patinera pas dans le temps, contrairement aux autres cités plus haut. Le jour où il sera abîmé, il faudra le refaire.
Les huiles :
Otez vous de la tête que l’huile laisse un aspect mat ou très légèrement satiné. Certaines huiles sont plus brillantes et plus costaud que tous les vernis du monde….Quelle que soit l’huile, elle sera plus efficace et plus belle, passée à 70° en fines couches.
Vous avez la traditionnelle huile de lin, qui doit être siccativée, c'est-à-dire que l’on ajoute un produit siccatif pour qu’elle sèche….elle laisse pendant longtemps une odeur écoeurante…odeur que l’on peut atténuer si l’huile est passée chaude.
Les huiles de bois cuites, telles celles de teck sont naturellement siccativées. Je vous les recommande. Très faciles à appliquer, très très solides !!
Une couche peut suffire, si on veut un côté extra mat. Sinon deux, voire trois, voire trente !! Plus vous en mettez, plus ça va briller. La seule condition est d’attendre que les couches soient sèches entre chaque.
Les cires :
La cire est un super produit d’entretien. Elle peut être passée sur l’huile, sur le vernis, sur tout !!! Sur certains vernis, on doit d’abord dépolir la surface pour permettre la bonne accroche.
Oubliez que la cire est molle….la plupart des cires du commerce sont enrichies au carnauba, et sont aussi dures que certains vernis. La cire est un produit réversible, c'est-à-dire que s’il est tâché par de l’eau, un coup d’huile ou un coup de cire diluée par-dessus, et tout disparaîtra…
Quelle que soit la finition utilisée, mémorisez vous bien cette règle : mou sur dur, ok. Dur sur mou, non !!! cela craquelle. Aussi, gomme laque sur vernis PU, OK. Cire sur vernis gomme laque, OK.
Rénover signifie remettre à neuf, remettre dans l’état original, ou tout du moins le plus originel possible, l’objet que l’on traite. On élimine alors la patine, les traces du temps etc…on se renseigne bien pour savoir quelle était la couleur, la finition de l’objet à son origine, et on fait tout pour la restituer.
2/ Le décapage :
Le décapage consiste à retirer toute trace de patine ancienne. Dans patine, comprenez le vernis, l’huile, la cire, mais aussi la « crasse » accumulée.
Pour cela, et en fonction des matières à enlever, on utilise différents décapants. Certains du marché sont dits universels. Cela signifie qu’ils sont censés tout décaper. Prenez un marque connue, qui a fait ses preuves, et vous ne serez pas déçu.
Ceci étant, lorsque l’on connaît la nature du produit à enlever, on peut se contenter de produits de « base », qui sont moins chers, parfois plus efficaces. Par exemple, l’acétone ou l’alcool à 95° pour les vernis gomme laque, l’essence de térébenthine pour les cires etc…
Versez le produit, laissez agir. Prenez de la laine d’acier, puis dans le sens sur fil du bois, frottez. Plus le revêtement est riche et épais, plus vous encrasserez votre laine d’acier. Vous pouvez alors prendre des laines d’acier grosses, qui s’encrasseront moins vite, et finir à la triple zéro.
La laine d’acier ne ponce pas. Elle n’use pas le bois, elle respecte le matériau traité.
Il est très important de savoir que les crosses militaires sont rarement poncées et finies parfaitement. Elles sortent de machines à copier, et sont presque sans retouche à la sortie de cette dernière. Aussi, sur les crosses militaires d’origine, on peut voir des coups de fraise de machine, qui montrent bien qu’il n’y a pas eu de restauration poussée, et qui sont en plus un témoin de fabrication intéressant. Attention de ne pas les enlever, ce serait irrémédiable et trop dommage. Il en est autrement de la plupart des crosses civiles, dont la finition est appliquée et poncée.
Respecter sa crosse, c’est la décaper, et ne pas la poncer !!
3/ Les coups.
Certains coups, outrages du temps, marquent trop la crosse, et parfois, pour certaines personnes, cela les défigure. Il est donc parfois indispensable de les supprimer.
Une fois votre crosse décapée, mouillez partiellement la partie enfoncée. Posez un linge plié en 4/5/6 épaisseurs, mouillé lui aussi. Prenez un fer à repasser le plus chaud possible, et appliquez le sur le linge. L’eau contenue dans le bois va se transformer instantanément en vapeur, et va donc remonter, emportant avec elle les fibres écrasées. Recommencez autant de fois que nécessaire. Il est impossible de faire ce traitement avec une crosse finie (huilée, vernie etc…), il faut qu’elle soit décapée !
Certaines éraflures ne pourront pas être sauvées par ce traitement. Car la matière a disparue, elle a été arrachée. Il faut donc aplanir autrement que par la patte mouille, on utilise un moyen mécanique : ponçage, rabotage, raclage.
Ne poncez jamais sans cale !! Un beau travail a des formes pures, des courbes non « cassées ». Prenez des cales dures, par certaines vendues dans le commerce toutes molles….une petite planche de contre plaqué fera l’affaire. Passez par un gros grain en premier lieu (80). Certains poncent directement au grain 180…c’est idiot, car on ne peut pas espérer aplanir les formes de cette manière. Puis 120, et enfin 180, voire 240. Inutile d’aller au-delà, c’est même mauvais, sauf cas exceptionnels comme une ronce de noyer par exemple.
Pour retirer certaines idées reçues, poncer trop fin n’est en effet pas bon. La finition accrochera mois bien. Les papiers fins sont faits pour « finir la finition ». C'est-à-dire poncer jusqu’au polissage, ce qui n’est pas notre affaire dans notre domaine.
Prenez un papier d’excellente qualité, pas de « papier silex » pour le plâtre. La toile émeri est parfaite pour ce genre de travaux.
4/ La teinte
Certains bois, pour être mis en valeur, ou pour correspondre plus aux goûts de chacun, ont besoin d’être teintés. Il existe des teintes à l’eau (les plus durables, les plus belles), les teintes à l’alcool (utilisées pour faire des retouches), et les teintes chimiques (très faciles d’utilisation, mais à proscrire le plus possible !!!). Les teinte chimiques marquent les défauts du bois, elle ne pénètrent que les fibres d’été (les fibres molles), et de ce fait, « zèbrent » les boiseries, le plus flagrant est sur le hêtre.
La teinte à l’eau est un domaine très vaste. Elle « lisse » les défauts du bois. C’est la plus durable dans le temps, à condition de rajouter un peu d’ammoniaque, c’est aussi la seule qui donne de la « profondeur » à la couleur. La plus connue est le brou de noix. Mais attention, cette teinte ne doit pas être utilisée seule, c’est une « base ». Sans ça, vous obtiendrez un « marronnasse » assez vilain. Il faut lui ajouter de la couleur.
Apprenez à lire les couleurs dans le bois. Vous y trouverez du vert, du jaune, du rouge, du marron, du orange….il faut avoir l’oeil !!
Tout est sujet à être une base de teinte à l’eau !! Tout ce qui « tâche » est une teinte, à partir du moment ou la couleur de la « tâche » est voulue, et que dans notre cas, elle se dilue à l’eau. Des champignons secs, des oxydes de fer, d’aluminium ou de cuivre, de la terre naturelle ou cuite, des aliments, de l’encre, des acides etc etc…..
Dans le commerce, vous trouverez toutes sortes de poudres (à utiliser en petites quantités), de différentes couleurs, et qui vous aideront dans votre choix. Toutefois, il existe des bases de teinte que l’on possède souvent chez soi, tout simplement, qui peuvent largement subvenir à vos besoins, je pense à la chicorée, par exemple….
Enfin, parfois, on cherche à décolorer le bois. Pour le rendre plus clair, ou alors pour donner au bois une base qui accueillera mieux la teinte. Utilisez de l’eau oxygénée + de l’ammoniaque pour la majorité des bois. De la javel pour la famille des résineux. Sinon, des produits décolorants sont vendus dans le commerce, parfois moins efficaces que ceux sités au dessus.
Décolorer ne signifie pas détacher. Si vous avez des tâches, il faut les éliminer avec les mêmes produits que l’on utilise sur les textiles, par exemple. La javel…les détachants du commerce, ou l’acide oxalique pour la rouille, par exemple. A chaque tâche son acide, cherchez sur Internet, je ne vous dévoilerais pas tout ici, la liste serait trop longue, mais tout est trouvable !!
4/ La finition :
Enfin, la finition…vous l’aurez compris, tout est possible à partir du moment où ça marche.
Le vernis :
-le vernis le plus traditionnel est le gomme laque. On l’applique à la mèche, au tampon, au pinceau, au spalter. Il se dilue à l’alcool à 95°. C’est un vernis « gras », qui supporte d’être employé sur des anciennes base pas parfaitement dégraissées. On peut mettre autant de couches que l’on désire, à partir du moment ou les couches sont minces. C’est le vernis qui est le plus durable, qui donne la plus belle profondeur à la couleur, c’est le seul qui ne soit pas toxique du tout.
-les vernis modernes. En ce qui nous concerne, je vous déconseillerais le cellulosique, qui craint l’eau. Vous avez donc les vernis à base glycérophtalique, qui ont à peu près les mêmes performances que le gomme laque, mais qui sont trop épais pour être raffinés.
Vous avez le vernis polyuréthane, qui est le plus costaud, mais qui ne supportera aucun coup ni aucune rayure. Ce vernis sera beau et très facile d’application, mais il ne se patinera pas dans le temps, contrairement aux autres cités plus haut. Le jour où il sera abîmé, il faudra le refaire.
Les huiles :
Otez vous de la tête que l’huile laisse un aspect mat ou très légèrement satiné. Certaines huiles sont plus brillantes et plus costaud que tous les vernis du monde….Quelle que soit l’huile, elle sera plus efficace et plus belle, passée à 70° en fines couches.
Vous avez la traditionnelle huile de lin, qui doit être siccativée, c'est-à-dire que l’on ajoute un produit siccatif pour qu’elle sèche….elle laisse pendant longtemps une odeur écoeurante…odeur que l’on peut atténuer si l’huile est passée chaude.
Les huiles de bois cuites, telles celles de teck sont naturellement siccativées. Je vous les recommande. Très faciles à appliquer, très très solides !!
Une couche peut suffire, si on veut un côté extra mat. Sinon deux, voire trois, voire trente !! Plus vous en mettez, plus ça va briller. La seule condition est d’attendre que les couches soient sèches entre chaque.
Les cires :
La cire est un super produit d’entretien. Elle peut être passée sur l’huile, sur le vernis, sur tout !!! Sur certains vernis, on doit d’abord dépolir la surface pour permettre la bonne accroche.
Oubliez que la cire est molle….la plupart des cires du commerce sont enrichies au carnauba, et sont aussi dures que certains vernis. La cire est un produit réversible, c'est-à-dire que s’il est tâché par de l’eau, un coup d’huile ou un coup de cire diluée par-dessus, et tout disparaîtra…
Quelle que soit la finition utilisée, mémorisez vous bien cette règle : mou sur dur, ok. Dur sur mou, non !!! cela craquelle. Aussi, gomme laque sur vernis PU, OK. Cire sur vernis gomme laque, OK.
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