Et si on parlait du Famas ?
5 participants
Page 1 sur 1
Et si on parlait du Famas ?
Le "clairon" (source Wikipédia)
Dans les années 1960 et 1970, la présence croissante du célèbre Kalachnikov AK-47 sur les théâtres d'opérations (Liban, Zaïre, etc.) tend à ringardiser les armes françaises en service à l'époque, issues des guerres de décolonisation des années 1950 : le fusil semi-automatique MAS Mle.49/56, le pistolet mitrailleur MAT 49 et le fusil mitrailleur MAC Mle.29 ; en 1978 au Liban, pour se tenir à armes égales avec les forces ennemies, la France a recours aux fusils d’assaut SIG 540 suisses.
En vue de mettre un terme à ce retard technologique de plus en plus inquiétant, le gouvernement français réunit alors une équipe d'experts et d'ingénieurs pour élaborer en laboratoire une arme moderne, dont la fabrication est laissée aux soins de la Manufacture d'armes de Saint-Étienne. Le projet du FAMAS commence en 1967, sous la direction du général Paul Tellié. Quatre ans plus tard, le premier prototype est prêt.
Conçu afin d'équiper l'armée française, le FAMAS est présenté pour la première fois en 1973. Il est commandé en 1978, et commence à être perçu à partir de 1979.
La version initiale du FAMAS, nommée « F1 », est vendue à plus de 400 000 exemplaires en France et dans quelques pays étrangers (Djibouti, Gabon, Sénégal et aux Émirats arabes unis), et est parfois donnée comme cadeau à des pays alliés. Giat Industries produit ensuite une variante G1 qui sert de transition vers le G2. Cette dernière est conforme à la norme de standardisation STANAG 4719 de l'OTAN. En France, le G2 est en service dans la Marine nationale.
Arme conçue en laboratoire pour être la plus moderne et technologique de son temps, le FAMAS fut décrié par certains pour son manque de réalisme sur le terrain. Arme lourde, d'entretien complexe, parfaitement irréparable si endommagée, le FAMAS ne récolta qu'un succès d'estime et ne fut jamais acheté massivement par aucun autre pays, du fait de son coût élevé (12 000 francs français) ; de plus, l’état-major français avait rejeté au début les demandes d'exportation, au motif de la satisfaction rapide des besoins de l'armée de terre française, les armées étrangères lui préférant bien souvent les armes américaines et surtout les dérivés du fusil AKM, et ce jusqu'en 2013 à l'occasion du conflit au Mali.
La production du FAMAS cesse en 2000 avec la fermeture du site de la Manufacture d'armes de Saint-Étienne. Sa maintenance est aujourd'hui assurée par l'usine Nexter Mechanics de Tulle, anciennement Manufacture d'Armes de Tulle, où fut produit le pistolet-mitrailleur MAT 49.
Le FAMAS coûte environ 1 500 € en version F1 et 3 000 € en version G.
Son architecture bullpup explique sa compacité malgré une longueur de canon (488 mm) lui assurant puissance et précision. La position très reculée de la culasse d'un fusil bullpup place l'éjection des étuis à la hauteur de la joue du tireur, ce qui impose de l'épauler toujours du même côté. Le FAMAS peut être utilisé aussi bien par les gauchers que par les droitiers en changeant la configuration de la fenêtre d'éjection ; cela implique une inversion de l'appui-joue ainsi qu'un démontage de l'arme afin d'inverser l'extracteur et l'obturateur se situant de part et d'autre de la tête amovible dans la culasse.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Schéma du système de tir par retour de gaz du FAMAS.
Dans le jargon militaire, l'ensemble « tête amovible + obturateur + extracteur » est surnommé la « tête de Mickey » car, vu de face, il évoque les trois cercles (tête et oreilles) permettant de dessiner la tête de Mickey Mouse. Le sélecteur de tir rafale/coup par coup est situé dans l'arcade de pontet, devant la queue de détente, donc accessible par les droitiers comme par les gauchers et le limiteur de rafale se situe sous la crosse sur le boîtier de mécanisme. La sécurité de l'arme est assurée par le boîtier de mécanisme sur le F1.
En raison de son aspect (faible longueur et poignée garde-main), il fut surnommé « le clairon » par certains militaires français, bien que cette appellation non réglementaire soit tombée en désuétude1.
Le mécanisme du FAMAS assure deux modes de tir : semi-automatique et rafale. Le limiteur de rafale, situé derrière le puits de chargeur, permet d'opter entre des rafales libres ou limitées à trois coups. La cadence de tir théorique, élevée pour un fusil d'assaut, est d'environ 1 000 coups par minute en mode rafale illimitée.
L'alidade de tir courbe du FAMAS est conçue pour employer les grenades à une portée de 120 à 340 m (par incréments de 20 m) en tir courbe à 45° (tir antipersonnel) ou 60 à 170 m (par incréments de 10 m) à 74°. Le tir avec une alidade de 74° n'est théoriquement pas utilisé en entraînement. Malgré la suppression de l'alidade de tir tendu, ce dernier reste possible grâce à un dispositif amovible livré avec les grenades. La poignée garde-main du FAMAS F1 est échangée sur le G2 contre une version équipée d'un rail dit OTAN pour recevoir de nombreux types de lunettes de visée de tir (avec ou sans amplification de lumière). La lunette OB 50 A ou B (terre, air) est directement montée sur la poignée garde-main renforcée.
Concernant la visée pour le tir de nuit, le fusil était doté à l'origine d'un coulisseau, avec une pastille fluorescente monté sur le support guidon et de deux autres pastilles sur le support de l'alidade de tir tendu, lui-même installé sur la poignée garde-main. De nuit, aligner correctement ces trois pastilles permettait de prendre une visée approximative, à corriger grâce aux cartouches à balle traçante. Ces pastilles fluorescentes ont été jugées dangereuses pour la santé de l'utilisateur et retirée avant le début de l'année 2010, d'où notamment la suppression de l'alidade de tir tendu qui comportait sur son support deux des trois pastilles.
Soldat français armé d'un FAMAS équipé d'un viseur point rouge de type Aimpoint AB et d'un bouchon de tir à blanc (BTB), et portant du matériel d’entrainement laser lors d'un entrainement au Joint Multinational Readiness Center (JMRC) à Hohenfels, Allemagne, le 14 mai 2008.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
FAMAS en configuration de tir de grenade à fusil APAV 40.
Le FAMAS est chambré en 5,56 mm OTAN. Les versions F1 et G1 possèdent un chargeur propriétaire de 25 cartouches, tandis que la version G2 à 30 cartouches est compatible avec la norme OTAN STANAG5. Le coût unitaire d'une cartouche, selon les fabricants retenus pour l'approvisionnement, est de 0,20 € à 0,25 €. Pour l'entraînement avec munitions à blanc, un bouchon de tir à blanc (BTB) peut être vissé au bout du canon. Il permet le réarmement de l'arme en freinant les gaz de combustion. Lors d'un tir à munitions avec balles, si le BTB est monté, le BTB et le manchon cache-flamme cassent. L'espérance de vie minimale théorique du canon est de 30 000 cartouches tirées.
Le FAMAS est aussi capable de tirer des grenades mixtes antipersonnelles/antivéhicules (APAV 40 notamment) ou antichars (comme l'AC58) au moyen de cartouches spéciales (cartouches feuillette pour grenades modèle F1) ou de cartouches ordinaires F1 (grenades modèle F2, où la grenade est dotée d'un piège à balle). Les grenades tirées de cette manière peuvent peser un poids maximal de 500 g. On peut aussi adjoindre au Famas un lance-grenade (M203 américain), qui se place sous le canon, ou une baïonnette.
Le FAMAS possède un bipied pour le tir couché. Sa version équipée d'une Poignée Garde-Main Polyvalente (PGMP) permet de monter une lunette Scrome J4, un viseur clair (point rouge) Aimpoint ou encore un dispositif d'aide à la visée de nuit « Pirat ».
Dans les années 1960 et 1970, la présence croissante du célèbre Kalachnikov AK-47 sur les théâtres d'opérations (Liban, Zaïre, etc.) tend à ringardiser les armes françaises en service à l'époque, issues des guerres de décolonisation des années 1950 : le fusil semi-automatique MAS Mle.49/56, le pistolet mitrailleur MAT 49 et le fusil mitrailleur MAC Mle.29 ; en 1978 au Liban, pour se tenir à armes égales avec les forces ennemies, la France a recours aux fusils d’assaut SIG 540 suisses.
En vue de mettre un terme à ce retard technologique de plus en plus inquiétant, le gouvernement français réunit alors une équipe d'experts et d'ingénieurs pour élaborer en laboratoire une arme moderne, dont la fabrication est laissée aux soins de la Manufacture d'armes de Saint-Étienne. Le projet du FAMAS commence en 1967, sous la direction du général Paul Tellié. Quatre ans plus tard, le premier prototype est prêt.
Conçu afin d'équiper l'armée française, le FAMAS est présenté pour la première fois en 1973. Il est commandé en 1978, et commence à être perçu à partir de 1979.
La version initiale du FAMAS, nommée « F1 », est vendue à plus de 400 000 exemplaires en France et dans quelques pays étrangers (Djibouti, Gabon, Sénégal et aux Émirats arabes unis), et est parfois donnée comme cadeau à des pays alliés. Giat Industries produit ensuite une variante G1 qui sert de transition vers le G2. Cette dernière est conforme à la norme de standardisation STANAG 4719 de l'OTAN. En France, le G2 est en service dans la Marine nationale.
Arme conçue en laboratoire pour être la plus moderne et technologique de son temps, le FAMAS fut décrié par certains pour son manque de réalisme sur le terrain. Arme lourde, d'entretien complexe, parfaitement irréparable si endommagée, le FAMAS ne récolta qu'un succès d'estime et ne fut jamais acheté massivement par aucun autre pays, du fait de son coût élevé (12 000 francs français) ; de plus, l’état-major français avait rejeté au début les demandes d'exportation, au motif de la satisfaction rapide des besoins de l'armée de terre française, les armées étrangères lui préférant bien souvent les armes américaines et surtout les dérivés du fusil AKM, et ce jusqu'en 2013 à l'occasion du conflit au Mali.
La production du FAMAS cesse en 2000 avec la fermeture du site de la Manufacture d'armes de Saint-Étienne. Sa maintenance est aujourd'hui assurée par l'usine Nexter Mechanics de Tulle, anciennement Manufacture d'Armes de Tulle, où fut produit le pistolet-mitrailleur MAT 49.
Description
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] |
FAMAS modèle F1. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] |
FAMAS modèle G2. |
1 : Partie plate = talon de crosse / Partie anguleuse = bec de crosse 2 : Crosse amovible 3 : Appuie-joue mobile (permet de passer d'une arme pour droitier à une arme pour gaucher) 4 : Ensemble mobile. Fenêtre d'éjection des étuis selon le montage de l'extracteur (ici à droite) 5 : Goupilles à démontage rapide 6 : Branche de bipied 7 : Poignée garde-main (PGM) 8 : Levier d'armement 9 : Alidade de visée pour les tirs de grenade (on lui attribue plusieurs noms : alidade de tir courbe, alidade de tir vertical). | 10 : Bague d'enfoncement de grenade 11 : Manchon cache-flamme 12 : Canon 13 : sélecteur de tir à 3 positions : tir au coup par coup / rafale / sûreté (voir 18 pour la sélection du type de rafale) 14 : Queue de détente 15 : Crochet du chargeur 16 : Chargeur (ici, un chargeur PCL — « Pour Cartouche de Lancement » —, appelé aussi « chargeur feuillette ») 17 : Numéro de série de l'arme 18 : Boîtier de mécanisme 2 positions : rafale 3 coups / automatique (illimité) |
Son architecture bullpup explique sa compacité malgré une longueur de canon (488 mm) lui assurant puissance et précision. La position très reculée de la culasse d'un fusil bullpup place l'éjection des étuis à la hauteur de la joue du tireur, ce qui impose de l'épauler toujours du même côté. Le FAMAS peut être utilisé aussi bien par les gauchers que par les droitiers en changeant la configuration de la fenêtre d'éjection ; cela implique une inversion de l'appui-joue ainsi qu'un démontage de l'arme afin d'inverser l'extracteur et l'obturateur se situant de part et d'autre de la tête amovible dans la culasse.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Schéma du système de tir par retour de gaz du FAMAS.
Dans le jargon militaire, l'ensemble « tête amovible + obturateur + extracteur » est surnommé la « tête de Mickey » car, vu de face, il évoque les trois cercles (tête et oreilles) permettant de dessiner la tête de Mickey Mouse. Le sélecteur de tir rafale/coup par coup est situé dans l'arcade de pontet, devant la queue de détente, donc accessible par les droitiers comme par les gauchers et le limiteur de rafale se situe sous la crosse sur le boîtier de mécanisme. La sécurité de l'arme est assurée par le boîtier de mécanisme sur le F1.
En raison de son aspect (faible longueur et poignée garde-main), il fut surnommé « le clairon » par certains militaires français, bien que cette appellation non réglementaire soit tombée en désuétude1.
Modes de tir
L'instruction technique du tir au FAMAS est effectuée avec le Simulateur d'Instruction Technique aux Armes Légères d'infanterie (SITTAL).Le mécanisme du FAMAS assure deux modes de tir : semi-automatique et rafale. Le limiteur de rafale, situé derrière le puits de chargeur, permet d'opter entre des rafales libres ou limitées à trois coups. La cadence de tir théorique, élevée pour un fusil d'assaut, est d'environ 1 000 coups par minute en mode rafale illimitée.
L'alidade de tir courbe du FAMAS est conçue pour employer les grenades à une portée de 120 à 340 m (par incréments de 20 m) en tir courbe à 45° (tir antipersonnel) ou 60 à 170 m (par incréments de 10 m) à 74°. Le tir avec une alidade de 74° n'est théoriquement pas utilisé en entraînement. Malgré la suppression de l'alidade de tir tendu, ce dernier reste possible grâce à un dispositif amovible livré avec les grenades. La poignée garde-main du FAMAS F1 est échangée sur le G2 contre une version équipée d'un rail dit OTAN pour recevoir de nombreux types de lunettes de visée de tir (avec ou sans amplification de lumière). La lunette OB 50 A ou B (terre, air) est directement montée sur la poignée garde-main renforcée.
Concernant la visée pour le tir de nuit, le fusil était doté à l'origine d'un coulisseau, avec une pastille fluorescente monté sur le support guidon et de deux autres pastilles sur le support de l'alidade de tir tendu, lui-même installé sur la poignée garde-main. De nuit, aligner correctement ces trois pastilles permettait de prendre une visée approximative, à corriger grâce aux cartouches à balle traçante. Ces pastilles fluorescentes ont été jugées dangereuses pour la santé de l'utilisateur et retirée avant le début de l'année 2010, d'où notamment la suppression de l'alidade de tir tendu qui comportait sur son support deux des trois pastilles.
Munitions et équipement
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Soldat français armé d'un FAMAS équipé d'un viseur point rouge de type Aimpoint AB et d'un bouchon de tir à blanc (BTB), et portant du matériel d’entrainement laser lors d'un entrainement au Joint Multinational Readiness Center (JMRC) à Hohenfels, Allemagne, le 14 mai 2008.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
FAMAS en configuration de tir de grenade à fusil APAV 40.
Le FAMAS est chambré en 5,56 mm OTAN. Les versions F1 et G1 possèdent un chargeur propriétaire de 25 cartouches, tandis que la version G2 à 30 cartouches est compatible avec la norme OTAN STANAG5. Le coût unitaire d'une cartouche, selon les fabricants retenus pour l'approvisionnement, est de 0,20 € à 0,25 €. Pour l'entraînement avec munitions à blanc, un bouchon de tir à blanc (BTB) peut être vissé au bout du canon. Il permet le réarmement de l'arme en freinant les gaz de combustion. Lors d'un tir à munitions avec balles, si le BTB est monté, le BTB et le manchon cache-flamme cassent. L'espérance de vie minimale théorique du canon est de 30 000 cartouches tirées.
Le FAMAS est aussi capable de tirer des grenades mixtes antipersonnelles/antivéhicules (APAV 40 notamment) ou antichars (comme l'AC58) au moyen de cartouches spéciales (cartouches feuillette pour grenades modèle F1) ou de cartouches ordinaires F1 (grenades modèle F2, où la grenade est dotée d'un piège à balle). Les grenades tirées de cette manière peuvent peser un poids maximal de 500 g. On peut aussi adjoindre au Famas un lance-grenade (M203 américain), qui se place sous le canon, ou une baïonnette.
Le FAMAS possède un bipied pour le tir couché. Sa version équipée d'une Poignée Garde-Main Polyvalente (PGMP) permet de monter une lunette Scrome J4, un viseur clair (point rouge) Aimpoint ou encore un dispositif d'aide à la visée de nuit « Pirat ».
_________________
Parfois, il me faut toute la journée pour ne rien faire.
Et encore, le soir, souvent je n'ai pas fini...
LEICACECILIA- Admin
- Date d'inscription : 09/10/2012
Age : 72
Localisation : Marseille
Humeur : J'aime rire !
Re: Et si on parlait du Famas ?
je l'ai porter pendant un an le clairon c'est dommage à la fin du service il devrait nous le donner en souvenir
explorateur- Expert
- Date d'inscription : 14/11/2014
Age : 57
Localisation : Aude
Humeur : Sympa
Re: Et si on parlait du Famas ?
explorateur a écrit:je l'ai porter pendant un an le clairon c'est dommage à la fin du service il devrait nous le donner en souvenir
ha cette fameuse tète de mickey !!
Re: Et si on parlait du Famas ?
Et alors ?
Sentiment ?
Problèmes rencontrés ?
Avantages ?
Sentiment ?
Problèmes rencontrés ?
Avantages ?
_________________
Parfois, il me faut toute la journée pour ne rien faire.
Et encore, le soir, souvent je n'ai pas fini...
LEICACECILIA- Admin
- Date d'inscription : 09/10/2012
Age : 72
Localisation : Marseille
Humeur : J'aime rire !
Re: Et si on parlait du Famas ?
testé une foi. une journée pour tirer 10 bastos (meme pas toutes en cible ) et une soiré pour tout nettoyer .moi le Famas comme souvenir sans compter les promenades en foret noire et le camping en hiver par -10°
Invité- Invité
Re: Et si on parlait du Famas ?
Le démontage est un peu chiant, je crois, non ?
_________________
Parfois, il me faut toute la journée pour ne rien faire.
Et encore, le soir, souvent je n'ai pas fini...
LEICACECILIA- Admin
- Date d'inscription : 09/10/2012
Age : 72
Localisation : Marseille
Humeur : J'aime rire !
Re: Et si on parlait du Famas ?
Ayant fais mes premi au 49/56
Et mon service au famas,
j avoue avoir une large preference
pour le 49/56.
Il est plus lourd,sa cartouche aussi
mais il est vivant au tir
et semi auto qui permet bien
de remettre en cible avec plus
de confiance que le famas.
par contre par apport a la mat 49,
je saute sur le famas direct.
Et mon service au famas,
j avoue avoir une large preference
pour le 49/56.
Il est plus lourd,sa cartouche aussi
mais il est vivant au tir
et semi auto qui permet bien
de remettre en cible avec plus
de confiance que le famas.
par contre par apport a la mat 49,
je saute sur le famas direct.
Invité- Invité
Re: Et si on parlait du Famas ?
ben tout le monde dit qu'il es chiant a démonté , c'est surtout a cause de beaucoup de petite pièces , mais a l'époque je le démontais les yeux bander en moins d'une minute !
donc c'est pas si chiant , mais c'étais a l'époque !
perso j'ai adoré le famas , vitesse de tir hallucinante et très bonne précision !
je fait H+L 5 a 200 en visé ouverte évidement
donc c'est pas si chiant , mais c'étais a l'époque !
perso j'ai adoré le famas , vitesse de tir hallucinante et très bonne précision !
je fait H+L 5 a 200 en visé ouverte évidement
Re: Et si on parlait du Famas ?
Une fois j'ai passer sur base une journée à l'armurerie pour les nettoyées j'en passer je ne sais plus combien et va y que je démonte et que je remonte les mac 50 aussi pareil .
je me suis régaler c'était bien sympa au tir pas mal non plus j'en envoyer pas mal de bastos pareil autant au famas tir de jour/nuit qu'au mac 50 quel plaisir et en plus gratos des caisses pleine et on tirai à volonté y a pas à dire mon premier stand de tir c'est à l'armée.
je me suis régaler c'était bien sympa au tir pas mal non plus j'en envoyer pas mal de bastos pareil autant au famas tir de jour/nuit qu'au mac 50 quel plaisir et en plus gratos des caisses pleine et on tirai à volonté y a pas à dire mon premier stand de tir c'est à l'armée.
explorateur- Expert
- Date d'inscription : 14/11/2014
Age : 57
Localisation : Aude
Humeur : Sympa
Re: Et si on parlait du Famas ?
Avec un h +l de 5 cm a 200m avec un famasnuma69 a écrit:ben tout le monde dit qu'il es chiant a démonté , c'est surtout a cause de beaucoup de petite pièces , mais a l'époque je le démontais les yeux bander en moins d'une minute !
donc c'est pas si chiant , mais c'étais a l'époque !
perso j'ai adoré le famas , vitesse de tir hallucinante et très bonne précision !
je fait H+L 5 a 200 en visé ouverte évidement
t as du finir chez les tireurs d elite
on vois pas trop de famas au tar ...
Invité- Invité
Re: Et si on parlait du Famas ?
manitou a écrit:Avec un h +l de 5 cm a 200m avec un famasnuma69 a écrit:ben tout le monde dit qu'il es chiant a démonté , c'est surtout a cause de beaucoup de petite pièces , mais a l'époque je le démontais les yeux bander en moins d'une minute !
donc c'est pas si chiant , mais c'étais a l'époque !
perso j'ai adoré le famas , vitesse de tir hallucinante et très bonne précision !
je fait H+L 5 a 200 en visé ouverte évidement
t as du finir chez les tireurs d elite
on vois pas trop de famas au tar ...
presque ! j'étais le meilleur tireur au FAMAS , mon score n'a jamais etais battu , un pote lui étais meilleur tireur a la 12.7 et un autre au mortier , on faisais un belle équipe , sauf que en sport on étais nul !
Re: Et si on parlait du Famas ?
J'ai fait mon S.M. peu de temps avant l'arrivée du FAMAS. Lors de la FETA (Formation Élémentaire Toutes Armes) le sergent-chef instructeur nous avait montré le tir d'une fusée éclairante avec un MAS 49/56*. Ces fusées ressemblant à des grenades à fusil on avait évoqué le sujet. Il disait que leur usage était limité car demandant un entrainement spécifique très rarement donné à la troupe et une position de visée exposée. Pour les grenades à fusil anti-char il les estimaient bonnes à rien. A ce propos il avait dit quelque chose comme "ce n'est-là que pour rassurer la troupe". C'était un bon, ils ne l'étaient pas tous dans les régiment d'appelés alors, il avait fait une véritable école de sous-officier ce qui n'était pas systématique à l'époque.
*Je crois me souvenir que ça se tirait avec une cartouche à blanc et qu'elle était fournie avec la fusée.
*Je crois me souvenir que ça se tirait avec une cartouche à blanc et qu'elle était fournie avec la fusée.
Dernière édition par Harry Mature le 4/7/2015, 2:01 pm, édité 1 fois
Harry Mature- Expert
- Date d'inscription : 02/05/2013
Age : 69
Localisation : IDF
Re: Et si on parlait du Famas ?
MAS 49/56 FLG et MAS 36 FLG en effet.
Harry Mature- Expert
- Date d'inscription : 02/05/2013
Age : 69
Localisation : IDF
Re: Et si on parlait du Famas ?
une grosse merde ce truc , et le bruit que sa fait
j'avais oublier mes bouchons d'oreilles , ben je m'en souvient comme si c'étais hier !
mais moi c'étais sur le FAMAS
j'avais oublier mes bouchons d'oreilles , ben je m'en souvient comme si c'étais hier !
mais moi c'étais sur le FAMAS
Re: Et si on parlait du Famas ?
Une superbe arme précise mais un peu fragile .
Mais c est le pied de tirer avec ça pour l avoir utilisé pendant 3 ans.
Mais c est le pied de tirer avec ça pour l avoir utilisé pendant 3 ans.
hans29- Expert
- Date d'inscription : 15/01/2014
Age : 53
Localisation : BZH 29
Humeur : tout depend des jours
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum